La machine et le chômage, Alfred Sauvy, refus de la machine, refus du régime, Révolution française, pays industriels
Définition de Sauvy : le progrès technique de façon générale est pour les hommes le fait d'accroitre le fruit de leurs activités économiques, c'est-à-dire la production de biens et services et le fait de diminuer la peine fournie pour avoir ce résultat.
Dans le cadre de l'entreprise, le progrès technique est la façon d'obtenir les meilleurs résultats possible avec le moins de moyens possible. Le chef d'entreprise cherche à maximiser son profit. Ainsi le progrès technique n'implique pas forcément l'acquisition d'un matériel nouveau, plus efficace ou plus économe en personnel. Il peut être obtenu par une formation du personnel, une meilleure utilisation des moyens de production disponibles…
[...] Par exemple, Michel Chevalier professeur d'économie au Collège de France introduit la notion d'association homme-machines surtout dans le cadre agricole, rejoignant l'idée de coopérative. Au fil du XIXe siècle, après 1848, la question de la machine se transforme. Il s'agit désormais d'améliorer le sort de l'ouvrier autant au niveau de son salaire que de ses conditions de travail tout en changeant le régime si besoin est. Socialisants et socialistes Sismondi analyse l'introduction des machines comme une destruction d'emplois, qui entraîne une diminution des revenus des ouvriers qui consomment moins, avec pour effet un ralentissement de l'économie. Proudhon suivra la même analyse que Sismondi. [...]
[...] Les entreprises ne bénéficiant pas du progrès st dc mises en difficulté et st obligées de licencier. - Ds des secteurs où il existe peu ou pas d'incidence du PT, pr assurer une égalisation des salaires avec le niv général, réduction de postes. Contestation de la destruction de postes par les Classiques Tout d'abord, prise en compte du travail fourni pour construire les machines, vecteurs de PT. Accroissement de la vente des produits bénéficiant du progrès , grâce à baisse du prix et production de masse. [...]
[...] une personne dt le R augmente. C'est le plus souvent l'employeur mais cela peut aussi être : - Les salariés restés ds l'E (suite à promesse du supérieur) - L'Etat si la fiscalité est augmentée - Les consommateurs si baisse des prix. Quel que soit le bénéficiaire et quelles que soient les justifications ou les reproches qui peuvent être formulés, l'utilisation de ce ou de ces revenus supplémentaires crée des emplois ailleurs, mais ces emplois ne sont identiques ni en nature, ni en nb aux emplois perdus. [...]
[...] APPROFONDIR EFFET CREATION MONETAIRE SUR EMPLOI Mais PT a d'autres effets : dispersion selon les produits. On admet que le PT a un impact sur le prix ; la baisse du prix peut avoir 2 effets : - Hausse des ventes - La baisse de prix d'autres articles à plus forte élasticité de consommation peut détourner des acheteurs. Donc ce sont les élasticités de la C en du prix et du R qui déterminent la position finale du produit. VI. [...]
[...] Schumpeter quant à lui estime qu'on ne peut distinguer le chômage dû au PT du chômage en général (surtt du chômage cyclique). En effet, les innovations étant des phénomènes cycliques comme le chômage. Hicks : les hypothèses de son modèle : il n'y a pas d'économie d'échelle i.e. le résultat du progrès technique ne dépend pas de la quantité produite. Pour lui, il y a labour saving si et seulement si du fait de l'élasticité de substitution entre capital et travail, l'accroissement de l'offre de capital accroît la part relative du revenu du capital, Pem L/PemK diminue. [...]
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