Nous pouvons noter que le contrôle de la violence n'est pas seulement présent dans le sport. De nos jours, nous pouvons constater que la télévision essaye de contrôler la violence et met en place divers moyens afin de protéger les enfants face à la violence de certains films (...)
[...] Une pastille indiquera l'âge et la restriction, soit déconseillée (la mention «déconseillé sera à l'écran une minute au début et une minute après la publicité), soit interdit (la mention «interdit sera affichée durant la totalité du film). Par exemple, un reportage sur la pédophilie comportant des images choquantes sera déconseillé aux moins de 10 ans. Un téléfilm montrant un usage répété de la violence sera déconseillé aux moins de 12 ans ou aux moins de 16 ans s'il y a aussi des scènes de sexe. [...]
[...] Aujourd'hui, nous pouvons voir que la violence est beaucoup plus pénalisée. Par exemple, lorsqu'un joueur tire le T-shirt d'un autre joueur, l'arbitre lui donne un carton jaune. Si deux joueurs se battent c'est carton rouge donc exclusion du terrain. Cette prise de conscience vis à vis de la violence est représentative des sociétés européennes. Nous pouvons aussi remarquer qu'il n'y a pas que dans le football que la violence a diminué, il y a aussi un sport qui a connu les mêmes changements, la même évolution : le rugby. [...]
[...] - les pubs qui jouent sur la naïveté des enfants ou les poussent à influencer leurs parents. - les pubs qui peuvent être dangereuses ou jugées vulgaire ou violentes. Le CSA a mis en place toutes ces mesures afin de pouvoir protéger l'enfant contre la violence. Nous pouvons donc conclure qu'au fil des années, notre société a tendance à vouloir maîtriser la violence que ce soit dans le sport ou à la télévision afin de protéger la jeune génération. [...]
[...] La mention «accord parental souhaité était même comprise à l'envers. Une enquête a montré que 48% des parents ne comprenaient pas toujours la dimension d'alerte de cette mention et de nombreux parents pensaient y voir un signal d'autorisation, voir de recommandation pour les enfants. C'est pour cette raison que le CSA a demandé une amélioration du point de vue de cette signalétique. Le président du CSA a indiqué que cette nouvelle signalétique n'était pas «une entrave à la liberté mais un service apporté par la télévision pour que les parents puissent exercer leur autorité d'adulte à l'égard des programmes violents ou érotiques que peuvent voir les enfants. [...]
[...] En effet le contrôle de la violence à la télévision est très important. Depuis quelques années, les travaux de psychologues et de pédiatres mettent en évidence «l'impact perturbateur de certains programmes télévisés, mais aussi des jeux vidéos cet impact est d'abord psychologique : difficultés d'endormissement, stress, anxiété, désensibilisation à la violence, agressivité, etc. l'impact des programmes violents agit aussi sur la représentation que l'enfant se fait du monde : surévaluation de la violence dans la réalité, vision négative de l'avenir, tolérance plus grande vis à vis des comportements agressifs et sexistes. [...]
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