Pénibilité, Manuel Valls, retraite anticipée, métiers très physiques, prolonger les années d'annuités et de cotisations
Préambule : Je suis un travailleur de la nuit et j'ai été comme beaucoup choqué par l'ajournement (face au Medef) de Manuel Valls sur la question de la pénibilité pour certains métiers (et donc d'une retraite anticipé pour eux).
Pour rappel :
Il n'est pas anodin de préciser que les gens qui travaillent la nuit (surtout si c'est sur une longue durée) vivent moins longtemps.
Les statistiques sont incontestable en ce domaine, ils sont aussi plus sujet à certaines maladies (Stress, obésité, surtensions…) .
Bon mais en dehors des métiers de la nuit de nombreux métiers mériteraient d'entrer dans les critères de pénibilité, ceux lié à des ports de poids lourds, les métiers au travail d'usine (qui doivent assurer une cadence importante ce qui n'est pas sans conséquence sur l'organisme), les bucherons ou les métiers très physiques, les métiers de prise de risque (policiers, pompiers professionnels, gendarmes…), les nouveaux prolétaires du XXIème siècle (je pense aux femmes caissières qui font un travail très difficile pour une faible rémunération)…
[...] La question des métiers et de la pénibilité Préambule : Je suis un travailleur de la nuit et j'ai été comme beaucoup choqué par l'ajournement (face au Medef) de Manuel Valls sur la question de la pénibilité pour certains métiers (et donc d'une retraite anticipé pour eux). Pour rappel : Il n'est pas anodin de préciser que les gens qui travaillent la nuit (surtout si c'est sur une longue durée) vivent moins longtemps. Les statistiques sont incontestable en ce domaine, ils sont aussi plus sujet à certaines maladies (Stress, obésité, surtensions ) . [...]
[...] Mais l'erreur (dans un sens inverse) des gouvernements depuis 1991 c'est de ne pas prendre en compte eux aussi les métiers liés à la pénibilités (qui eux ne bénéficient pas ou mois de cet allongement de la durée de vie, du fait de la spécificité de leurs métiers). Pour conclure : Il faut dans cette affaire là avoir une démarche pragmatique, il est évident qu'on ne peut pas mettre sur le même plan des gens qui font un métier libéral (type avocat, médecin, les cadres ou encore les employés de bureau avec ceux qui vont faire un travail très difficile sur le plan physique ou nerveux. [...]
[...] Il faut donc convenir de faire du cas par cas et penser le long terme. Une réflexion devrait aussi être entamer sur la fin de carrière et facilité le passage à la retraite en encourageant par exemple les anciens (si c'est possible) à faire de la formation pour les plus jeunes, encourager au maximum une fin de carrière et une meilleure appréhension de la retraite (ces expérience sont très rependu à l'étranger elle sont encore balbutiante en France). Notre pays à tous à gagner et bien sur les citoyens également. [...]
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