Question sociale, problèmes, solutions, pauvreté, richesse, niveau de vie, revenus, OMD Objectifs du millénaire pour le développement, égalisation des ressources, IDH Indice de développement humain, Bourdieu, capital culturel, société française, paupérisme
La question sociale se définit comme étant une « préoccupation politique visant à améliorer le sort des groupes les moins favorisés de la société, cette question sociale porte principalement à l'époque du Second Empire sur l'amélioration du sort des ouvriers ».
La question sociale est pensée en France depuis le 16? siècle. Cependant, elle a longtemps été prise en charge par le patronage-paternalisme, donc par le privé. Puis, elle a été réfléchie par les hôpitaux généraux et les États-providence. À la Renaissance, les pays européens chrétiens reposent sur la charité, donc il y a une forme de dépendance des plus riches envers les plus pauvres. Puis, au 19? siècle, le pauvre est décriminalisé, et apparaît la notion de paupérisme, c'est maintenant le travail qui rend pauvre.
[...] De ce fait, c'est considérer alors que la satisfaction de besoins ne s'effectue qu'à travers le revenu, donc issu du marché du travail, en excluant la satisfaction tirer d'un bien non marchand. Cependant, la satisfaction des besoins ne passe pas nécessairement par l'argent, notamment dans les pays peu développés. Dans ce contexte, l'ONU fixe des recommandations à ces membres, avec la création des OMD, il s'agit des objectifs du millénaire pour le développement sur la période 2000-2015. Cette politique se poursuit sur la période 2015-2030 avec l'ODD est ces 17 objectifs. [...]
[...] Les pays agissent en fonction des problématiques définies. Éliminer l'extrême pauvreté et la faim constitue un des éléments de l'OMD. Ici, on observe une évolution, il n'est plus question seulement de réduire l'extrême pauvreté de certains pays, tous les pays ont le devoir de réduire la pauvreté en leur sein, même les pays riches, avec la notion d'inégalité. La lutte contre la pauvreté peut s'effectuer « par le haut » ou « par le bas ». D'abord, la lutte par le « haut », il s'agit de grandes politiques menées à l'échelle nationale et internationale (macro-politiques) sur le long terme. [...]
[...] La pauvreté et son calcul peuvent varier d'un pays à un autre en fonction du niveau de vie. Les approches monétaires sont fondées sur le revenu des individus. Le seuil de revenu permet de faire apparaître les situations de pauvreté, c'est-à-dire au-dessous duquel les individus en question ne possèdent pas assez d'un intermédiaire pour subvenir à leurs besoins, la monnaie. Selon la Banque mondiale, la conversion monétaire nécessaire à la vie doit satisfaire la reproduction biologique, l'habillement, le logement et le transport. [...]
[...] Une autre solution est le revenu de base, qui serait donc universel et sans contrepartie. Aujourd'hui, cela existe pour les plus pauvres avec le RSA. Cela permettrait de ne plus avoir des rapports de forces aux travaux, avec une nécessité de travail dans certaines conditions. Même les plus démunies pourront avoir une exigence. La mise en place de la redistribution pourrait vaincre ces inégalités, c'est la répartition des taxes sur les revenus. Pour conclure, nous avons vu que la question sociale se préoccupe notamment de la pauvreté et des inégalités. [...]
[...] Cet indicateur fait transparaître les différences existantes entre les différentes dimensions évoquées parmi les groupes sociaux divers. Les données recueillies pour chacun des critères sont exprimées en dollars ou en constituant un score allant de 0 à un IDH se rapprochant le plus de 1 étant synonyme d'un pays dans lequel le développement est élevé. II L'omniprésence des difficultés liées aux inégalités présentes dans la société française La question sociale peut être aussi problématisée par les inégalités. L'objectif est de faire diminuer l'écart entre les plus riches et les plus pauvres. [...]
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