famille, aides sociales, gestion publique, politique familiale, pauvreté
Avec la politique de la famille; on arrive dans un domaine différent d'auparavant. Avec la politique familiale et la lutte contre la pauvreté, on est dans un registre différent, on est dans une logique redistributive qui pose des questions particulières. Cela signifie que la politique nationale redistribue les cotisations.
On donne plus d'argent à certains types de population, soit parce qu'on estime qu'au delà du plaisir privé d'avoir des enfants, cela représente aussi une sorte d'investissement que font les familles pour l'avenir de la collectivité, du pays, de la nation.
[...] L'inspiration est proche de l'inspiration qui légitimait la loyauté. Le roi tient son pouvoir de droit divin, et en homologie le père tient de droit divin un pouvoir sur les autres membres de la famille. La famille a un rôle social qu'elle est censée assumer pour la transmission des valeurs traditionnelles, et aussi pour la constitution du lien social autour de ça. Cette formulation se retrouve dans un cocktail dosé différemment entre l'affirmation des droits de l'individu et la famille jour un rôle de socialisation qu'il faut privilégier. [...]
[...] Alors que dans la totalité des pays Européen, elle a commencé a baissé au début du XXe siècle. Ainsi, la France qui était le pays le plus peuplé au début du XIXe c'est fait dépasser par beaucoup de voisins Européen à la fin du XIXe siècle. La défaite de la guerre de 1870 a été un déclencheur sur cette thématique de la famille autour de l'idée qu'on s'est fait battre dans la guerre contre la Prusse, parce que le taux de fécondité français a baissé en France et pas ailleurs. [...]
[...] Cela consiste à dire que d'un certain point de vue, peu importe les idéologies, il faut améliorer les conditions de vie des familles. On s'aperçoit que dans la 20aine de prestations versées, elles sont nées à des périodes différentes, dans lesquelles l'équilibre entre ces 3 courants pouvait être différent (notamment autour d'une question que l'on trouve en filigrane Comment les pouvoirs publics aident les familles dans l'accueil des jeunes enfants). Les courtant nataliste et familialiste défendent le même objectifs mais pas pour les mêmes raisons. [...]
[...] Avec la politique familiale et la lutte contre la pauvreté, on est dans un registre différent, dans lequel on est dans une logique redistributive qui pose des questions particulières. Cela signifie que la politique national redistribue les cotisations. On donne plus d'argent à certain type de population, soit parce que on estime qu'au delà du plaisir privé d'avoir des enfants, cela représente aussi une sorte d'investissement que font les familles pour l'avenir de la collectivité, du pays, de la nation. [...]
[...] Dans la manière dont le système d'aides aux familles est constitué (les équilibres relatifs entre ce qu'on met sur chacun des prestations) cela interagit avec des points de vue idéologiques concernant la place de la famille, le rôle de la famille VS les individus En matière de politique familiale, on est sur un sujet dans lequel l'Etat, la collectivité ou autre, intervient directement ou indirectement sur les comportements privés des individus. Une des caractéristiques historiques de notre politique familiale est qu'elle a eu depuis longtemps un caractère nataliste. On est dans un domaine dans lequel l'Etat se donne pur projet d'intervenir sur les choix individuels, par exemple sur le choix de vouloir avoir un enfant maintenant ou plus tard. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture