Pauvreté, déterminants, taux de pauvreté, prestations sociales, minima sociaux
Depuis le début des années 70, la pauvreté que ce soit au seuil de 60% du niveau de vie médian (mais également au seuil de 50%) a fortement baissé.
En 1970, au seuil de 60% on avait 18% de la population qui était pauvre.
De 1970 à aujourd'hui, le taux de pauvreté a baissé de presque 4 points de pourcentage.
Cette baisse n'est pas tout à fait uniforme. Il y a eu une forte baisse durant les années 70 et même jusqu'au milieu des années 80 et depuis lors, le taux a continué de baisser, mais moins fortement. On a même une légère remontée au début des années 90. Depuis 2004, la tendance est plutôt à la stagnation.
Il est important en parlant de cette diminution de parler des prestations sociales, à savoir que sans les prestations sociales, on aurait eu une diminution, mais sûrement pas aussi importante.
[...] par cette réforme, cumul pendant 3 mois. En plus de ca, au bout du 4eme mois, les allocataires avaient une prime de retour à l'emploi de 1000€. Le CI-RSA : contrat aidé à temps partiel (20 heures mini par semaine) pour une durée minimale de 6 mois et jusqu'à 18 mois. Et gardent droits connexes aux RMI. (donc payé au SMIC + employeur exonéré de charges sociales+ aides liées au RMI). Reste un contrat précaire malgré attractivité pour les employeurs. [...]
[...] remplace aussi les mécanismes d'intéressement. Rend l'intéressement permanent Impôt négatif et allocation universelle. a. impôt négatif et prestations subordonnées à l'exercice. Selon le revenu d'activité on va payer des impôts ou en toucher un négatif = recevoir un revenu de l'état. Si les revenus sont nuls (personne ne travaille) les prestations sont nulles. b. L'expérience des pays anglophones : Au début les prestations sont constantes avec le revenu d'activité jusqu'à un certain niveau de revenu ou la tendance s'inverse : on paye des impôts. [...]
[...] En 2007, le taux de pauvreté parmi les femmes seules avec enfants, le taux de pauvreté est de 65% chez les femmes inactives et 25% chez les femmes actives 2. Pauvreté et activité a. Pauvreté et chômage Le lien entre pauvreté et chômage est relativement fort. Les ménages qui comporte un chômeur on un risque multiplier par 3.5 d'être pauvre par rapport aux ménages ne comportant pas de chômeurs. Dans le rapport de l'observatoire de 2001/2002 : 80% des ménages comportant un chômeur sont au dessus du seuil de pauvreté. Et moins de la moitié des personnes pauvre sont chômeurs. [...]
[...] Minima sociaux, avec principalement le revenu minimum. L'impôt négatif c'est une prestation liée à l'occupation d'un emploi. a. Les minima sociaux et la question du retour à l'emploi Un minima social : prestations sociales essentiellement non contributive il n'y a pas de contre partie de cotisation nécessaire) Elles sont versées sous condition de ressource. Leurs objectifs est d'assurés à une personne ou sa famille un revenu minimum. Cela renvoie à la logique Beveridgienne de solidarité, ces prestations sont financées par impôt. [...]
[...] Raison d'affichage et d'économie). Le barème dépend de la configuration familiale. Les facteurs qui jouent dans l'évolution des bénéficiaires : - conjoncturelle ! Il y a toujours un retard entre la conjoncture et la baisse des bénéficiaires. - la monté de la précarité influe sur l'augmentation du nombre de Rmistes. - l'évolution du taux de couverture de l'assurance chômage. b. Le principe d'une allocation différentielle : l'exemple du RMI le débat autour des trappes. Gain de la reprise à l'emploi peut être faible voire nul. [...]
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