1. Les facteurs/drivers de changement inhérents à l'espèce humaine au cours de son histoire.
1.1. L'échange
Tout au cours de l'histoire, les peuples vivaient principalement de la chasse, de la cueillette et de l'agriculture. De plus, les outils et techniques de chasse et même agricoles de certains peuples étaient plus évolués que d'autres. Le meilleur moyen de satisfaire les besoins essentiels des peuples étaient d'échanger avec d'autres peuples. Et cet échange devait se faire sur des territoires neutres ou stratégiques qui généralement étaient de grands carrefours. On note une certaine spécialisation des taches. Ainsi, des tribus de chasseurs allaient à ces lieux d'échanges pour troquer du gibier contre du blé, du maïs etc. avec des tribus d'agriculteurs. Aussi, des chasseurs y allaient pour échanger des outils de chasse plus performants avec des chasseurs d'une autre tribu. De même des agriculteurs pouvaient alors y aller pour apprendre de nouvelles techniques agricoles d'autres peuples.
1.2. La curiosité
Pour des tribus sédentaires, certaines ont entendu parler des lieux d'échanges et des différentes activités qui les animent. Certains membres des tribus poussés par l'esprit de découverte, se sont décidés d'aller voir ces lieux de commerce qui sont animés d'une manière différente de leur milieu d'origine. Ayant trouvé ces nouveaux milieux intéressants, ils se sont temporairement installés puis définitivement pour mener une activité. Pour des tribus nomades, c'est beaucoup plus par la mobilité qu'elles se sont retrouvées à ces grands carrefours (lieux d'échanges ou de commerce). Ces grands carrefours pour eux sont immédiatement devenus des lieux de ravitaillement et de repos. Ensuite, certaines tribus nomades ont fini par se sédentariser et exercer des activités (...)
[...] Cette réduction de la mobilité est un grand frein à la curiosité car plus en on est mobile La croissance La démographie augmentant, la croissance continuera à être l'un des drivers de la ville. N'oublions pas que compte tenu de la saturation à un moment, on pourrait arriver à la situation de la chine où les naissances sont réglementées. Juste pour dire que la démographie pourrait ne pas toujours être exponentielle. Yannick NLEME, Master 2 Innovation et Information Stratégique, 2010/2011. [...]
[...] Le meilleur moyen de satisfaire les besoins essentiels des peuples étaient d'échanger avec d'autres peuples. Et cet échange devait se faire sur des territoires neutres ou stratégiques qui généralement étaient de grands carrefours. On note une certaine spécialisation des taches. Ainsi, des tribus de chasseurs allaient à ces lieux d'échanges pour troquer du gibier contre du blé, du maïs etc. avec des tribus d'agriculteurs. Aussi, des chasseurs y allaient pour échanger des outils de chasse plus performants avec des chasseurs d'une autre tribu. [...]
[...] L'échange dans les villes sera beaucoup plus diversifié et complexe. Les villes seront très organisées, très structurées. La politique des villes sera adaptée en fonctions des problèmes cruciaux qui mineront la ville elle-même ou le monde et sera de plus en plus une politique participative car ce sont les populations elles mêmes qui seront les acteurs du changement. C'est ainsi qu'un accent sera mis sur la politique des villes écologiques afin de ralentir le réchauffement climatique et de protéger l'environnement. Yannick NLEME, Master 2 Innovation et Information Stratégique, 2010/2011. [...]
[...] Ceci afin de veiller sur la population et de faire régner l'ordre et la justice dans les villes. Et c'est d'ailleurs l'organisation d‘une ville qui la maintient en vie et la fait grandir en attirant d'autres populations et personnes désirant investir ou sollicitant un emploi. Yannick NLEME, Master 2 Innovation et Information Stratégique, 2010/2011. Page 3 sur décrivez et justifiez : Le devenir de ces drivers dans 100 ans L'échange L'échange étant l'un des fondements de la création de la ville, ça continuera à se diversifier et existera sous plusieurs formes La curiosité Nous projetons que d'ici 100 ans, nous aurons une décroissance accrue de la curiosité. [...]
[...] D'après tout ce qui précède, nous voyons à l'avenir des villes de plus en plus verticales, c'est-à-dire avec un accent sur les constructions d'immeubles et des maisons à étages afin d'exploiter l'espace aérien car les terrains libres seront très éloignés des centres Yannick NLEME, Master 2 Innovation et Information Stratégique, 2010/2011. Page 5 sur 6 villes. Avec l'évolution des techniques et technologies, ces constructions et l'aménagement des villes en infrastructures seront de plus en plus de qualité. Aussi, les villes seront surpeuplées avec le phénomène d'exode rural sans cesse croissant. [...]
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