L'univers familial est aussi complexe qu'intéressant. Il nous apporte un lourd bagage dont nous aurons besoin tout au long de notre vie. C'est ainsi qu'il est le premier agent de socialisation. Cette socialisation en est une très forte puisqu'elle est aussi émotive. Comme le dit Angers, « l'enfant sera d'autant plus peiné de recevoir une punition s'il sent qu'il affecte ses parents et qu'une partie de leur amour sera momentanément disparu. » Cet agent peut avoir différentes formes, qui influenceront de façon différente chaque personne. Depuis les années 1980, nous assistons de plus en plus aux phénomènes que sont les familles nucléaires et les familles monoparentales (...)
[...] KELLY, Stéphane, s.d., p Génération lyrique: Grosso modo, cette génération est née entre les années 1942 [ ] et 1952 [ Il s'agit des premiers nés du babyboom, [ ] marquant la remontée spectaculaire des naissances qui se terminera autour de 1960 (Angers, p. 41) Dans la mesure où l'on ne veut pas transmettre aux générations futures une dette trop importante, les gouvernements devront sans doute faire des choix difficiles. Il est probable que les babyboomers, qui avaient jusqu'à présent bénéficié de la gratuité des programmes sociaux aient à payer, à leur retraite, une plus grande partie du coût des services qu'ils consommeront.» LANDRY, Suzanne mars 2007, p. LA PRESSE AFFAIRES6. [...]
[...] Dans le film de Louis Bélanger, la famille et son statut monoparental sont des éléments cruciaux. Effectivement, en raison du décès de la femme de François Brochu, le personnage principal du film Gaz Bar Blues, celui-ci se retrouve dans l'obligation de subvenir seul aux besoins de ses trois garçons. Ces éléments sont constatables particulièrement au début du film, alors que l'on voit la dynamique de la famille : le lever, (ou les garçons dorment dans la même chambre), lorsque François réveille son fils, Guy, et qu'il vaque à toutes les tâches de la maison; il fait le petit-déjeuner et il voit au réveil afin que son fils respecte son horaire de travail. [...]
[...] Cela prouve que les valeurs de notre société ont changé. Comme le dit Mario Laprise dans l'article ces valeurs sont à caractère de moins en moins humain, à cause de l'arrivée du capitalisme[21]. On assiste présentement à une certaine crise économique[22] qui remet en doute plusieurs de nos façons de faire et de penser. Peut-être que nous en sommes rendus à trouver un certain équilibre en le capitalisme aggravant la situation de jour en jour et le communisme[23]. Univers sociologique et liens sociaux Il est facile de voir que ce que l'on est n'est pas totalement indépendant de la société qui nous entoure. [...]
[...] La violence est aussi très fréquente dans le film. Des petits truands comme Yoyo et Coyote ont l'air de faire de la violence leur quotidien. De plus, François Brochu a décidément de la difficulté à tirer profit de sa station-service avec le peu de richesse présente dans son quartier. La criminalité[6] au Québec, bien souvent associé aux gangs de rues, en inquiète plusieurs. Pour régler ce problème, nous avons constaté avec l'expérience que bien souvent si la pauvreté[7] diminue, la criminalité et la délinquance[8] elles aussi diminueront. [...]
[...] Pour lui, la valeur prioritaire est la famille. La famille[2] est au cœur de notre socialisation. C'est pourquoi nous accordons beaucoup d'importance à l'impact que nous pouvons avoir sur nos enfants. La sociologie devenant de plus en plus populaire, les parents sont de plus en plus conscients de l'impact qu'ils peuvent avoir dans la vie des individus que sont leurs enfants. On leur dit qu'une grande partie de ce qui forge l'humain se passe en bas âge. L'article montre que cette pression doit développer le jugement des parents et non les inquiéter. [...]
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