Champs social, discours social, adoption, clinique sociale, Oedipe, filiation, père adoptif, mère adoptive, Lagache, Durkheim, théories du sujet, socialisation, intégration, transmission intergénérationnelle
La clinique sociale relève à la fois de la dimension clinique, être au chevet du patient, dans la rencontre directe avec le sujet. Dans cette approche on ne mène pas des recherches par courriel, chercheur interposé. On va à la rencontre de l'autre. C'est toujours une mise en danger, les subjectivités se croisent et les espaces intersubjectifs se construisent.
[...] Ce processus ne peut se faire que par appropriation des représentations et en rapport avec les autres. La socialisation va s'effectuer dans un double mouvement qui va concerner l'intégration sociale de la personne et l'intégration personnelle du social. On a à chaque fois ce parallèle entre la personne et la société. Dans ce premier mouvement on retrouve plusieurs processus, comme l'initiation qui permet de passer d'un monde à un autre, d'un statu à un autre, par des rites de passage conscient ou non et avec des prérequis qui sont définis par la société d'appartenance. [...]
[...] « Ce qui ne se dit pas, ne s'écrit pas, ne s'exprime pas, a certainement autant et plus d'importance que ce qui se dit, s'écrit et se transmet » (Thuillier, 1977). i.e Nous avons beaucoup à apprendre de l'invisible. Débat entre conscient et inconscient. Dans l'approche clinique sociale nous considérons que ce qui nous apprend le plus est l'invisible. Donc on est en permanence dans une compréhension entre ce qui s'observe directement et ce qui participe aux conduites mais qui n'est pas observable de façon directe. Nous sommes donc dans une approche qui ne remet pas en question la notion d'invisible. I. [...]
[...] Si l'enfant a plus de 15 ans, il doit consentir son adoption. = Adoption plénière= elle rompt tous les liens avec la famille d'origines. Cette adoption est dispo à des couples ou des célib. Dispo que pour des enfants de moins de 15 ans. • Fin des années 60 : adoption internationale. • 1976 : droit d'adopter si on a déjà des gosses CM5 III histoire de l'adoption : stéréotypes sociaux • Adoption elle génère le plus souvent un discours social dans lequel tout le monde a ses représentations autour de l'adoption. [...]
[...] Des enfants donnés par les hôpitaux dans ce cas l'adoptant s'engageait à élever pour l'honneur de Dieu, le traiter comme son propre enfant, assurer sa nourriture, son entretient, son éducation religieuse, et lui faire apprendre un métier, lui constituer une dote s'il s'agit d'une fille. On a vu aussi se développer des tours d'abandon. Les parents pouvaient déposer leurs enfants dans les hôpitaux la période révolutionnaire * L'adoption : devoir d'humanité. * Moyen de diviser les grandes fortunes * Adoption interdite aux célibataires * 1803 : seules les personnes de plus de 50 ans sans enfants peuvent adopter un majeur. * augmentation des abandons à paris. Mais les parents biologiques gardent pour objectif de retrouver leur enfant. [...]
[...] de traumatisme que nous n'avons pas vécu nous même. Dans les familles adoptives ce qui va poser question est le fait que dans l'établissement de la filiation une période plus ou moins longue n'est pas commune entre l'enfant et les parents. Cela va supposer qu e l'aspect psychologique va être accentué puisqu'il s'agit d'une adoption de la descendance sans engendrement biologique. On va avoir une métamorphose de la parenté et de la parentalité. On peut se demander qu'est ce qui fait famille, et est ce qu'un lien biologique est suffisant et nécessaire pour faire lien dans la famille. [...]
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