La ségrégation aux Etats-Unis de 1900 jusqu'en 1960

Résumé du document

Dans quels domaines les étrangers ont-ils subis la ségrégation ? Il y avait-il que les Noirs qui étaient menacés ? Quelles sont les lois qui ont atténués la ségrégation ? TPE parlant en outre des noirs, des chinois et des japonnais.

Extraits

[...] Dans certaines villes, on a cherché à aménager des arrêts séparés pour les autobus qui desservent les quartiers noirs. Les noirs, dans bien des cas devaient laisser passer les passagers blancs, et ne monter dans les autobus et de s'asseoir que lorsqu'il y avait de la place. Pendant la guerre, alors que les transports étaient bondés, les compagnies du territoire de la ségrégation instaurèrent parfois un système de quota, en vertu duquel seuls quelques non blancs symboliques étaient autorisés à monter dans les autobus, quelque fut le nombre de ceux qui avaient acheté des billets ou le nombre de jours depuis lequel ils attendaient une place. [...]

[...] Bien entendu en arrivant au bureau de vote, il risquait aussi de tomber sur des blancs armés en le menaçant avec un revolver ou une mitraillette. Sur les machines à voter, il est bien entendu a peu prés impossible de rajouter le nom d'un candidat, de sorte que vous êtes obligé de voter pour l'un des candidats officiels, ou pas du tout. Bien que les urnes doivent être fabriquées avec un matériau solide et qu'elles doivent pouvoir être scellés d'une façon qui présente toute les garantie, vous pourrez en trouver qui sont en réceptacles fragiles. [...]

[...] Pourcentage réel du vote noir virtuelle (1947) : Oklahoma Tennessee Texas Arkansas Floride Virginie Caroline du sud Louisiane Alabama Mississippi Si un noir habitait une grande ville, sa chance de voter était beaucoup plus élevées que s'il habitait une petite ville ou un village. Pour un noir, le fait d'être ancien combattant ne les aidera pas à obtenir leur inscription sur les listes électorales. Bien au contraire, les blancs ont fais des efforts particuliers pour empêcher les anciens combattants noirs de voter. D'autre part, comme on la déjà vu, le fait de posséder une solide instruction n'est pas toujours une garantie. La vérité est qu'un noir avait de meilleures chances d'obtenir son inscription s'il n'avait pas l'air instruit. [...]

[...] A part une ou deux exceptions, tous les immeubles d'habitations construits par le gouvernement américain sont à l'usage exclusif soit des blancs ou soit des noirs. Dans un certain nombre de villes du sud étaient affichés à l'entrée de leur territoire : Nègre, si tu sais lire, Passe ton chemin ; Si tu ne sais pas, Passe ton chemin quand même. B. Les chinois Il y avait environ chinois (ou descendant de chinois) des Etats- Unis, ainsi 80% de cette population sont forcés, par des pressions diverses de vivre dans les Chinatown surpeuplés des villes suivantes : San Francisco, Los Angeles, New York, Chicago, Portland, Seattle, Boston, Philadelphie Le ghettos jaune de San Francisco est le plus peuplé de tous et qu'il renferme des chinois de Californie et des chinois des Etats-Unis. [...]

[...] Pendant des années, les résidents japonais de Los Angeles qui cherchaient à faire enterrer leurs morts dans le cimetière public des pauvres se sont heurtés à la mauvaise volonté des autorités qui leur affirmaient que la section japonaise de cimetière était pleine. C'est depuis longtemps une préoccupation majeure de la chambre de commerce japonaise de los Angeles de trouver un lieu de sépulture pour les nippo-américains. II. Le travail A. Les noirs Le problème du travail est étroitement lié au problème du logement vu précédemment. [...]