Au 20ème siècle, mais surtout à partir des Trente glorieuses, les inégalités ont fortement diminué grâce à la mise en place de l'État providence. Ce qui a contribué à faire augmenter le niveau de vie des individus.
Nous parlons d'inégalités quand les ressources entre individus sont mal réparties, ce qui se traduit par des avantages ou des désavantages en fonction de critères sexuels, d'âges, de prestige. A note époque, dans les pays industrialisés, on peut se demander s'il est nécessaire de lutter contre les inégalités. Ces pays sont des sociétés démocratiques c'est-à-dire que les individus sont égaux en droit et en liberté (...)
[...] Par contre, les enfants des classes dominantes s'arrêtent peu après le Bac parce que cela n' pas beaucoup de prestige. Par conséquent, le choix scolaire moins valorisé entraîne des revenus pas trop élevés, donc un faible patrimoine et peu de connaissances, ce qui entraîne un risque plus important d'être au chômage. Dans ce cas l'état ne doit pas intervenir car c'est le choix de l'individus, il mérite ce qu'il lui arrive. Enfin, si on recherche à réduire les inégalités pour permettre aux individus d'avoir plus de chances dans n'importe quels domaines, certains individus vont être découragés de faire des efforts pour rien. [...]
[...] Dans quelle mesure la lutte conte les inégalités est justifiée dans les sociétés démocratiques contemporaines ? INTRO: Au 20ème siècle, mais surtout à partir des Trente glorieuses, les inégalités ont fortement diminuer grâce à la mise en place de l'État providence. Ce qui a contribué à faire augmenter le niveau de vie des individus. Nous parlons d'inégalités quand les ressources entre individus sont mal réparties, ce qui se traduit par des avantages ou des désavantages en fonction de critères sexuels, d'âges, de prestige. [...]
[...] Les classes dominées sont poussées à rattraper les classes dominantes. Ces dernières doivent conserver leur place. Mais si elles sont supprimées, les personnes ne vont plus être motivées pour travailler car l'État va donner des aides, c'est le principe de la trappe à pauvreté. Pour les libéraux, s'il y a une intervention de l'État, les effets ne peuvent être néfastes. De plus, le fait de donner beaucoup d'aides et chercher à réduire les inégalités fait augmenter les dépenses publiques. Ensuite, pour les libéraux, il faut un système méritocratique c'est-à-dire que si on est riche, on l'a mérité et inversement. [...]
[...] De plus, tous les individus n'ont pas la même espérance de vie, ce qui représente une inégalité. Par exemple, les cadres ont une espérance de vie plus élevée que celle des ouvriers. Cela s'explique par le fait qu'il existe plus d'accidents de travail chez les ouvriers. Les conditions de vie et de travail de ces derniers sont différentes de celles des cadres. Leur rapport au corps est également différent car ils consultent moins, leurs accès aux fruits et légumes, au bio et aux soins médicaux sont plus limités. [...]
[...] Si c'était le cas les individus ne seraient pas libre car ils devraient partager avec les autres. En conclusion, nous pouvons dire qu'il est justifié dans une société démocratique moderne de lutter contre les inégalités parce que tous les individus ne démarrent pas leur vie avec les mêmes chances à cause de leurs origines sociales. Mais cette lutte a aussi des effets néfastes puisqu'elle démotive des individus qui ont fait des efforts pour avoir ce qu'ils ont. D'après les libéraux, cette lutte est néfaste car elle entraîne une perte de motivation. [...]
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