Grâce aux avancées de la science, de nombreux patients retrouvent chaque année une seconde chance de vivre, grâce à la greffe d'un organe ou à la transfusion sanguine.
Cependant, ce système ne peut fonctionner que grâce à la générosité des donneurs (d'organes et de sang), générosité qui ne parvient souvent pas à satisfaire les besoins…
Ainsi par exemple, le nombre d'organes disponibles ne parvient malheureusement pas à satisfaire la demande grandissante de transplantation. C'est ainsi que 10 Européens meurent chaque jour, faute d'avoir reçu un organe assez rapidement.
Si la Norvège s'inquiète comme tous les autres pays européens d'une pénurie d'organes chaque année plus importante, la situation du don d'organe dans ce pays reste digne d'intérêt, notamment en vertu du recours aux donneurs vivants (particulièrement en matière de greffe de reins).
[...] Les amis n'entrent pas dans le cadre de notre programme. M. [...]
[...] Les structures de fractionnement sont encore en faible nombre, ce qui nécessite des importations. Au niveau de l'organisation du don du sang, il existe des unités de collecte, de préparation et de qualification au niveau de Banques de Sang dans certains hôpitaux (55 au total). LA LÉGISLATION RÉGLEMENTANT LE DON DU SANG EN NORVÈGE Une législation très proche de celle des pays de l'Union Européenne IL FAUT SAVOIR QUE LA LIGNE DE CONDUITE NORVÉGIENNE EN MATIÈRE DE LÉGISLATION SUR LES DONS SANGUINS A PRINCIPALEMENT ÉTÉ DE S'ALIGNER SUR LES DIRECTIVES EUROPÉENNES. [...]
[...] Les objectifs du programme de transplantation de donneur vivant en Norvège» L'ENCADRÉ SUIVANT SYNTHÉTISE ASSEZ CLAIREMENT LES OBJECTIFS DE CE PROGRAMME : Ce programme initié par le milieu médical n'est donc pas le résultat d'un choix politique conscient. Toutefois, les autorités publiques concernées sont tout à fait informées de la pratique, et n'ont jamais tenté d'influencer cette politique, que ce soit dans un sens ou dans l'autre. De plus, comme nous l'avons vu, la loi laisse ouverte la question de savoir qui peut donner un rein en Norvège et donc ne s'oppose pas à cette politique. Une conception très large du pool des donneurs potentiels. [...]
[...] IL REGROUPE CINQ PAYS (LA NORVÈGE, LA SUÈDE, LA FINLANDE, LE DANEMARK ET L'ISLANDE) ET COUVRE UNE POPULATION TOTALE DE 24 MILLIONS HABITANTS. CETTE ASSOCIATION POURSUIT PRINCIPALEMENT QUATRE OBJECTIFS. TOUT D'ABORD, ELLE S'OCCUPE DES ÉCHANGES D'ORGANES ET DE TISSUS ENTRE LES CENTRES DE TRANSPLANTATION DE CES DIFFÉRENTS PAYS. DE PLUS, ELLE EST CHARGÉE DE CONSTITUER UNE BANQUE DE DONNÉES ET DE LA COMMUNIQUER AUX ORGANISMES CONCERNÉS. SCANDIATRANSPLANT EST EN OUTRE RESPONSABLE DE LA PROMOTION DU DON D'ORGANES ET DE TISSUS. [...]
[...] En effet, la physionomie de ce pays a des conséquences sur le plan du coût et du temps nécessité par le transport d'un patient qui se trouve éloigné du centre d'hémodialyse. Ainsi, la transplantation rénale devient économiquement très avantageuse, puisque son coût est estimé à couronnes norvégiennes, alors que celui de la mise en dialyse d'un patient à raison de 2/3 séances par semaines serait de couronnes par an. LES ORIGINES DU PROGRAMME DE TRANSPLANTATION DE DONNEUR VIVANT EN NORVÈGE LE RECOURS AUX DONNEURS VIVANTS FAIT AINSI PARTIE DE CE QUI EST APPELÉ UN PROGRAMME MÉDICAL, UNE VÉRITABLE POLITIQUE NATIONALE DE SANTÉ PUBLIQUE. [...]
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