Du point de vue juridique, on appelle criminalité l'ensemble des actes jugés dangereux pour la société et entraînant, des sanctions pénales. Lorsque ces actes dangereux sont commis par des enfants ou par des adolescents, la notion de criminalité s'efface derrière celle de délinquance juvénile. La distinction est faite pour protéger le jeune délinquant, plus ou moins conscient de la portée de ses actes, en le faisant bénéficier d'un régime de faveur.
L'âge de la majorité pénale est dix-huit ans en France. Le jeune délinquant est justiciable de juridictions spéciales: tribunal pour enfants, cour d'appel et cour d'assises des mineurs, qui appliquent des règles de procédure plus souples que les autres tribunaux. Les fautes commises y sont appréciées différemment, puisque, pas comme l'adulte, le mineur aux yeux de la loi est présumé irresponsable des infractions qu'il commet.
[...] L'augmentation de cette délinquance est équivalente à Ces chiffres ne tiennent compte que des délits et crimes constatés par les autorités canadiennes, et ne représentent pas la totalité des infractions commises. Conclusion La délinquance juvénile est en constante augmentation depuis 1994. Le responsable de ce phénomène social de plus en plus répandu serait dû, en général à cause d'un manque affectif ou éducatif de la part des parents. Celui-ci, souvent lié au milieu social duquel il provient ; de l'éclatement de la famille qui entraîne un vide affectif et la perte des repères, mais aussi de l'absence de parents, occupés à subvenir aux besoins de la famille. [...]
[...] Il faut souligner en effet l'importance des causes économiques de la délinquance juvénile. L'adolescent qui sort de l'école ou des cours professionnels se heurte trop souvent à des difficultés lorsqu'il veut trouver un emploi. Le désœuvrement forcé se traduit par de l'inquiétude, du désarroi, ou par un sentiment d'irritation plus ou moins contenu. L'adolescent qui se sent en marge va rechercher la compagnie de garçons ou de filles de son âge, souvent chômeurs comme lui. Le groupe ainsi formé se substitue à la famille qui fait défaut ou qui ne comprend pas les problèmes qui se posent aux jeunes. [...]
[...] Un travail d'intérêt général (pour les mineurs de 16 à 18 ans) ; cette peine doit être adaptée à l'âge du mineur, représenter un caractère éducatif et favoriser l'insertion sociale du mineur. (Il n'y a que 10% de récidive après l'application des peines.) Ces sanctions peuvent être révisées suivant le comportement de l'enfant. Juridiction des mineurs de plus de 13 ans Les mineurs sont jugés à huit clos par le tribunal de police. Différents services du tribunal de police sont nécessaires afin de juger diverses affaires où un mineur est mis en cause. On en compte 3 : Le juge des enfants, qui s'occupe des délits. [...]
[...] Etat d'une personne désœuvrée, qui ne sait pas quoi faire. Donner un avertissement sévère Nom donné à l'ensemble des magistrats qui ont le pouvoir de requérir la justice au nom de l'état qu'ils représentent dans les diverses juridictions Qui n'est pas sociable Les mineurs restent principalement impliqués dans des affaires de vols : ils constituent des mis en cause dans ces affaires en 2002. Ce phénomène, la délinquance juvénile occupe progressivement le devant de la scène, il est en constante expansion dans une société où l'autorité des familles est en déclin. [...]
[...] La délinquance chez les jeunes se traduit par des types de délits particuliers. Ces délits[1] et crimes[2] sont généralement moins graves que ceux commis par les adultes. Délits Parmi les délits que peuvent causer les jeunes délinquants, on peut trouver : Le vol : Le vol est le fait de s'emparer de la propriété d'autrui sans son consentement. Le racket : Le racket, est ce que le Code pénal nomme, extorsion, ou vol avec violence Le racketteur exige de sa victime de l'argent, des objets ou des vêtements en le menaçant. [...]
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