Délinquance des jeunes, causes, conséquences, établissement scolaire, espace public
La délinquance juvénile a causé des problèmes vis-à-vis de la société. Dès le Moyen Age, un aspect de la criminalité apparaît. Au XIIe siècle, le nom donné aux délinquants était les truands ; ce sont des mendiants qui utilisent les mensonges pour inciter les passants à baisser leur garde. Les gueux sont des groupes ou bandes composés de criminels échappés, des ouvriers licenciés, et des personnes déclassées. Ils se divisaient en plusieurs tribus : les soldats, les merciers, les mendiants et les voleurs. Au XVIe siècle, cela évolue et forme une confrérie : ce sont des gueux qui sont dirigés par un chef, par exemple Villon. Les grades, du débutant au très bon marchand, sont reconnus par les vêtements : pechon, blesche, coesme, coesmelotier, coesmelotier huré. Un autre type de groupe était les cagous : ce sont les mêmes compositions des gueux, mais avec une technique qui ne consiste pas à passer à l'acte, mais plutôt de trouver des stratégies. Le cœsre est celui qui les dirige. Pour être un officier de l'Argot, il fallait passer des épreuves en compagnie des maîtres.
[...] Le divorce crée la dissociation familiale donc la délinquance juvénile. La loi du divorce, en 1975, permet d'introduire une allocation parentale et d'appliquer l'expression de famille monoparentale. La monoparentalité peut être causée aussi par la mort d'un des parents, provoquée soit par l'enfant soit d'une mort accidentelle. En l'absence d'un père dans une famille, l'enfant ne possède plus les repères: la maturité, l'affection et l'individualité. Le père est un aspect symbolique dans la famille. Le taux que l'enfant est plus élevé si il habite chez son père que chez sa mère. [...]
[...] L'enfant va de foyer en foyer. D'après une étude de Rochester, les jeunes qui n'ont jamais vécu de transitions familiales ont des comportements délinquants, ce qui représentent 64,1%. Les jeunes ayant vécu cinq transition familiales ou plus ont des comportements délinquants, ce qui représentent 90%. Le facteur de protection est le niveau d'éducation de l'enfant. Si les parents ont un bon niveau d'étude, alors l'enfant aura aussi un bon niveau et la probabilité qu'il devient délinquant sera minime. La stabilité financière permet de supporter les crises et autres catastrophes économiques. [...]
[...] L'adolescence est une période de la vie entre la puberté et l'âge adulte. II Les causes et les conséquences de la délinquance juvénile: La délinquance juvénile peut être déclenché par plusieurs facteurs: les facteurs familiaux, les facteurs sociaux, et les facteurs économiques. Il y a des des facteurs de risque et des facteurs de protection. Un facteur risque est une caractéristique qui favorise l'adoption d'un comportement nuisible. Donc par conséquent, plus le nombre de facteurs de risque augmentent, plus la probabilité que l'enfant devient délinquant augmente. [...]
[...] Conclusion: Nous pouvons donc conclure que la délinquance a évolué statistiquement, socialement et économiquement. Les conséquences de la délinquance marquent les esprits des parents, de la société. La mentalité des jeunes s'aggrave en même temps que leur santé physique. L'État ne laisse pas une «seconde chance» aux délinquants pour se rééduquer avec l'aide des enseignants, des aides sociales adressé au parents. La réinsertion dans un nouveau lieu permet d'éviter les risques de fréquentation. Même si la délinquance persiste, de nombreux progrès ont été fait pour contrer et lutter contre la délinquance juvénile. [...]
[...] Il existe plusieurs types de famille: il y a la famille instable, la famille patriarcale et la famille souche. Ces termes sont crées par Frédéric Le Play et forment les systèmes familiaux. La famille instable, ou nucléaire, est une famille fondée à partir de deux adultes, mariés ou non, avec ou sans enfant. Dans le cas de la délinquance, la famille aura au moins un enfant. La famille patriarcale est une famille dont un ensemble de personne qui ont le même sang, donc père, mère, et enfants. [...]
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