1) Distinction entre modèle bismarckien et bévéridgien :
(On paye l'individu selon le risque de son travail.
On participe un peu aujourd'hui afin de recevoir quelque chose si un risque apparaît.
On sait que le risque existe donc je fais ce qu'il faut pour m'en protéger.
Les individus se prennent en charge.
La société estime que tout être humain doit avoir un minimum qu'il a ou non payé pour cela.
La société est responsable de nous) (...)
[...] Pour avoir une retraite pleine on est passé à 40 années de cotisation et bientôt à 41 ans. On retient le salaire des 25 meilleures années. γ: autres Augmenter la natalité. ( bonne idée mais résultat à très long terme. Immigration (mais pose des pb) Augmenter les cotisations Mais Augmente le coût salarial donc baisse la compétitivité des entreprises mais on peut aussi dire que si on augmente les cotisations on constate que ce sont les salaires nets qui baissent donc baisse des investissements donc baisse conso et croissance. Solution impopulaire préconisée par les syndicats. [...]
[...] Pour tous les autres on ajoute la CSG. Avant seuls les salariés payaient la Sécu. Or si baisse des cotisations, baisse du coût du travail, donc hausse compétitivité donc hausse emploi (baisse du chômage) et hausse des profits (donc hausse épargne (ou d'autre part dividendes) donc hausse autofinancement donc hausse investissement donc hausse production) Mais pas de cotisations pour les plus pauvres (smic ) Inconvénients : les entreprises voudront laisser leurs salariés au smic. On constate que depuis plusieurs années on fait faire des économies sur les remboursements. [...]
[...] D'une certaine façon c'est le système anglais et des pays scandinaves. On a un système corporatiste ou assurantiel, on a un Etat providence, un système d'assurance obligatoire qui donne droit à des aides proportionnelles au revenu à condition d'avoir un emploi. Le système est géré de façon bipartite ou tripartite. Les résultats : Les pays scandinaves ont des revenus médians très élevés et des taux de pauvreté très faibles après transfert mais assez élevés avant. L'Allemagne et la France qui ont un modèle bismarckien, corporatiste ont un taux de pauvreté assez faible (mais plus haut que les pays scandinaves après transfert et plus bas avant) qui a bcp baissé après transfert. [...]
[...] Le chômage petit à petit est de moins en moins remboursé. Une nouvelle logique ? Ex du RMA Lorsque l'individu sort du RMI pour prendre un emploi on va lui donner des aides pour compléter son salaire et ne pas perdre par rapport au RMI. Mais les associations critiquent ce genre de revenus car les entreprises calculent les salaires en fonction des aides qu'ils vont avoir. [...]
[...] Remet en cause la solidarité nationale. On veut une société d'assistance et un Etat qui prend tout en charge ou un libre choix de l'individu ? II) Les effets pervers qui en découlent : Trappe à emploi Hausse protection sociale( hausse coûts salariaux( hausse coûts de production( Hausse des prix( baisse exportations( baisse production( baisse emploi( augmentation des dépenses de protection sociale Cercle vicieux. Si on habitue les gens à toutes ces aides, ils ne pourront plus s'en passer. (Aide chômage : position confortable, ne vont plus être très énergiques pour chercher un emploi( Incapables de retrouver un emploi. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture