Cours de Sciences Economiques et Sociales (SES) sur le chapitre des Structures sociales et inégalités.
[...] C'est la mobilité rendu obligatoire par la salarisation et la tertiarisation notamment. La mobilité nette : Serai celle qui ne s'explique pas par les transformations des métiers ; et peut être considérée comme un indice de la fluidité sociale (degré de mobilité d'une société). Trajets courts / trajets longs : Une différence : Lorsque le statut du fils est différent mais peu éloigné dans l'espace sociale de celui du père, on parle de trajet court (fils d'ouvrier ou d'employer qui occupe une profession intermédiaire). [...]
[...] Mais la réalité est différente et la mobilité sociale s'avère limitée ; les stratégies des acteurs (famille) favorisent une reproduction des statuts des pères en fils. La mobilité sociale, un phénomène des sociétés modernes : Mobilité et société : Une opposition des sociétés : On oppose généralement les sociétés au sein desquels les statuts sont établi définitivement par la naissance et les sociétés dont l'organisation social permet le changement de statut au cours de sa vie et / ou par rapport à ces parents par le travail et le mérite individuel. [...]
[...] Il s'agit des libertés civiques et politiques et celles d'être propriétaire. Le principe de différences : Considère qu'une inégalité ne doit pas se faire au détriment des plus défavorisés. Pour lui, il existe des inégalités socioéconomiques qui sont justes si elles permettent à ceux qui occupent les positions sociales les moins avantageuses d'accéder durablement à des avantages plus importants. La théorie de la justice de Ralws récuse à la fois l'égalitarisme et l'utilitarisme. Il justifie les interventions de l'Etat qui doit éliminer les inégalités non profitables aux plus démunis (inégalités sexe, origine ethnique ) et doit se soucier de l'équité par des mesures qui visent à rendre effective et réelle l'égalité des chances. [...]
[...] La société est-elle pour autant + fluide qu'il y à 30 ans ? Les déterminants de la mobilité sociale : L'évolution des métiers est-elle une contrainte pour les individus dans leur trajectoire professionnelle, ou cette évolution est-elle le résultat des choix des stratégies des acteurs ? L'analyse de la mobilité sociale, est l'un des lieux ou s'oppose holisme et individualisme méthodologique notamment à travers les rôles de la famille et de l'école. L'influence familiale : La famille joue un rôle essentiel dans l'intégration sociale et la mobilité L'implication familiale : Dans les facteurs de mobilité sociale, il faut compter sur les stratégies familiales, ainsi en aval de l'école, l'implication des parents est de + en + forte. [...]
[...] Inégalités intergénérationnelles : Inégalités entre les jeunes et les personnes âgées La situation d'aujourd'hui est favorable pour ces dernières (retraite, revenus réguliers ) ; alors que la situation est défavorable pour les jeunes (précarité, chômage, difficultés d'insertion ) Inégalités face à la sécurité : Les plus démunis sont les plus touchés par l'insécurité dans les cartiers. Ils n'ont pas les moyens pour ce protégé. Inégalités socioculturelles qui augmentent débouchant sur une forme d'exclusion. CONCLUSION PARTIELLE La moyennisation : La moyennisation d'une société peut être définie comme le processus de constitution d'une vaste classe moyenne réduisant les positions extrêmes dans la stratification sociale et rapprochant les modes et les niveaux de vie. Autrement dit, les clivages sociaux s'atténuent, et la couche sociale intermédiaire s'accroît. [...]
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