immigration, Union européenne, réaction des Etats, réfugiés, terrorisme, convention de Genève de 1951
Une année normale voit environ 300 000 personnes immigrantes (avec ou sans visa).
Un tiers des migrations se font entre pays du Sud. 22% Nord/Nord. 40% Sud/Nord.
Particularité de l'UE, les Etats membres ont décidé d'abolir les frontières entre eux et de reporter les contrôles aux frontières étrangères -> espace Schengen.
Dès qu'il y a une vague de migration et que l'UE veut réguler ces flux, il faut mettre en place des mécanismes de solidarité. Sinon, les contrôles aux frontières se rétablissent en violation du traité.
[...] Principe de confiance mutuelle : lien avec la solidarité. Les Etats se font mutuellement confiance pour respecter un certain nombre de règles. Ex : confiance pour le contrôle des frontières extérieures. Une agence de l'UE remplit la mission de fermeture des frontières : FRONTEX. Cette agence n'est pas très populaire d'une part du côté des associations de défense des droits des immigrés, d'autre part du côté des politiques car des migrants continuent de passer. Externalisation du contrôle aux frontières : on essaie de résoudre les problèmes à la cause des départs pour déplacer le contrôle des frontières à l'extérieur. [...]
[...] L'immigration dans l'Union Européenne : enjeux et perspectives. Une année normale voit environ personnes immigrantes (avec ou sans visa). Un tiers des migrations se font entre pays du Sud Nord/Nord Sud/Nord. Particularité de l'UE, les Etats membres ont décidé d'abolir les frontières entre eux et de reporter les contrôles aux frontières étrangères espace Schengen. Dès qu'il y a une vague de migration et que l'UE veut réguler ces flux, il faut mettre en place des mécanismes de solidarité. Sinon, les contrôles aux frontières se rétablissent en violation du traité. [...]
[...] La question migratoire est éminemment politique et probable cause de perte aux élections prochaines des dirigeants. La réaction des Etats. Lien avec le terrorisme classique : il faut fermer les frontières et les contrôler davantage. En 2005, le Royaume-Uni avait mis en place une législation qui permettait au ministre de placer quelqu'un en rétention dès qu'on la trouvait suspecte (uniquement pour les étrangers). La CEDH a interdit cette discrimination, même pour lutter contre le terrorisme. Fermer les frontières : est-ce efficace ? [...]
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