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L'amorce d'une crise économique autrement plus aiguë que la crise sanitaire consécutive à la pandémie du coronavirus est à prévoir. En effet des effets désastreux en cascade sont attendus tant sur le plan économique, financier que bancaire au niveau mondial. Nous nous attarderons sur les conséquences au niveau européen sujet qui nous concerne car cela pourrait transformer notre quotidien pendant plusieurs années. Rentre-t-on dans une période de chômage de masse, de faillites massives, de crise non financière qui pourrait le devenir, les politiques menées par les États de l'UE, et des décisions prises par la présidente du parlement européen vont-elles être suffisantes pour empêcher une récession interminable, une perte de souveraineté des États membres, et/ou déstabiliser une Union européenne fragile ?
[...] En effet de Bruxelles arrivent des messages tranquillisants, mais comme ces financements seront fournis en majorité sous forme de prêts, divers économistes avertissent d'un danger fort d'endettement et d'une ultérieure perte de souveraineté. Être dans l'obligation par la suite d'imposer des politiques de rigueur et d'austérité comme ce fût le cas après la crise de 2008, à des pays déjà presque à terre, les conséquences peuvent être multiples, soulèvement des peuples, montée du populisme, éclatement et affaiblissement de l'UE . [...]
[...] Toutes ces mesures après 2008 ont été des mesures de réduction des dépenses publiques et de réformes structurelles afin de permettre la relance économique nécessaire, et du respect d'un déficit public annuel ne devant pas excéder les du PIB. On peut aussi citer la différence de compétitivité entre par exemple l'Espagne et l'Allemagne. L'industrie allemande, grâce à son ouverture sur l'extérieur et à sa puissance, a grandement contribué au maintien économique du pays, au contraire de l'Espagne, bien moins dotée, car basée sur l'agriculture, le tourisme et l'immobilier entre autres et non pas une production de produits à haute valeur ajoutée comme l'économie allemande. [...]
[...] Quant à la France, en 2018 elle portait encore les stigmates de la crise de 2008 qui a pesé sur les revenus des ménages, leur consommation et sur les recettes fiscales. Ce qui traduit un manque à gagner pour l'État français qui s'est vu amoindrir ses recettes et par conséquent moins d'investissements publics, ou dans l'enseignement. En effet la dette publique française n'a cessé d'augmenter depuis 2008, les emprunts sur les marchés se sont poursuivis, et des réformes structurelles ont été engagées, mais accélérées par le président Macron qui a vu des mouvements sociaux importants comme les gilets jaunes, la grève de la SNCF durant plusieurs mois, ainsi que le personnel hospitalier et autres. [...]
[...] La situation actuelle du système économique, financier et bancaire européen ainsi que son devenir - COVID-19 : une crise économique virale L'amorce d'une crise économique autrement plus aiguë que la crise sanitaire consécutive à la pandémie du coronavirus est à prévoir. En effet des effets désastreux en cascade sont attendus tant sur le plan économique, financier et que bancaire au niveau mondial. Nous nous attarderons sur les conséquences au niveau européen, sujet qui nous concerne, car cela pourrait transformer notre quotidien pendant longtemps voire plusieurs années. [...]
[...] De plus la FED a injecté plusieurs milliards de dollars de quoi donner confiance aux marchés financiers. Reste à savoir combien de temps va durer, car il y a toujours un décalage et anticipation. Les indices ont une fonction d'anticipation, mais ne la remplissent pas toujours, car un décalage entre la propagation de l'épidémie due au [HYPERLINK: https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sante/coronavirus-ncov-virus-epidemie]coronavirus [HYPERLINK: https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sante/coronavirus-ncov-virus-epidemie] [HYPERLINK: https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sante/coronavirus-ncov-virus-epidemie]e [HYPERLINK: https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sante/coronavirus-ncov-virus-epidemie]t la réaction des marchés. Alors que la situation en Chine était déjà largement connue depuis mi-janvier, les marchés n'ont décroché qu'à partir du 20 février. [...]
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