Europe, sentiment national, disparités européennes, Rome, Napoléon Bonaparte, guerres napoléoniennes, Hitler, Pierre Laval, idéologie nazie, Mussolini
Depuis l'Empire romain, voire même l'empire carolingien, l'Europe n'a pas admis une hégémonie d'un royaume sur tous les autres. Le sentiment national né des différentes conquêtes est à l'origine de cette difficulté. Napoléon et Hitler ont essayé de mettre en place de nouveaux ordres européens : sans succès.
[...] Le sentiment national est beaucoup trop présent parmi les États d'Europe Pendant les guerres napoléoniennes et plus encore au 20[e] siècle, les Etats deviennent aussi des Nations. Ce n'est plus simplement un regroupement juridique ou administratif mais cela touche aussi aux sentiments. En effet, le sentiment de faire partie d'une même communauté de destin est un élément marquant du début du 19[e] siècle. La présence française en Europe crée une forme de répulsion. Cette répulsion cause un sentiment commun entre les personnes habitant un même royaume ou une même entité politique et juridique. [...]
[...] En quoi les disparités européennes sont-elles trop saillantes pour ne pas permettre l'émergence d'un nouvel empire ? L'impossibilité de réunifier l'Europe sous la même bannière. L'impossibilité d'imposer par la forcée armée une Europe unie. En quoi les disparités européennes sont elles trop saillantes pour ne pas permettre l'émergence d'un nouvel empire ? Comment les dernières tentatives en la matière se sont-elles avérées être des échecs cuisants ? SOMMAIRE : L'Europe n'est pas un continent homogène. Le sentiment national est beaucoup trop présent parmi les Etats d'Europe. [...]
[...] Ainsi, les royaumes conquis de l'Europe centrale n'acceptent pas de se voir diriger par un étranger. Hitler quant à lui veut réunifier l'Europe autour de la bataille idéologique contre le communisme et l'entreprise génocidaire contre les Juifs. Hitler échoue dans sa tentative car les pays conquis estiment nécessaire leur autonomie qui plus est pour des pays qui ne partagent pas tout à fait l'idéologie nazie. Le premier exemple significatif en est celui de l'Italie fasciste. En effet, Mussolini n'est pas foncièrement contre les Juifs : aucune politique antisémite n'est venue de lui dans les années 1930. [...]
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