Brexit, Union Européenne, UE, autodétermination, démocratie, bureaucratie, Royaume-Uni, Anglais, Cour Européenne, Banque Centrale Européenne, Bruxelles
L'idée d'un référendum pour l'indépendance vis-à-vis de l'Union Européenne et la victoire du Brexit soulève un grand nombre de questionnements sur les problèmes de fonctionnement des institutions européennes.
Ces mêmes problèmes existent depuis longtemps et n'ont jamais fait l'objet de réels tentatives de résolution. Il semblait même que les dirigeants de l'Union Européenne pensaient que les peuples européens étaient suffisamment hébétés et abreuvés de promesses pour ne pas se mobiliser avec une ampleur qui pourrait faire tanguer le bateau Europe.
[...] L'espace médiatique est principalement trusté par des par des eurolâtres de tous bords. Et l'opinion sceptique, cynique voire pessimiste est constamment raillée avec des arguments d'autorité qui infantilisent l'adversaire sans jamais aller débattre sur le fond. On a alors le droit à ces incantations vomies depuis près de trois décennies : le besoin de plus d'Europe et l'importance de la solidarité européenne Ces concepts creux sont en général utilisée à la place d'un argumentaire, on voit ici clairement la place du slogan dans une pratique marketing rabâché pour créer des automatismes béats chez une population servile. [...]
[...] L'Angleterre a été capable de se gouverner pendant des siècles n'ayons donc pas de peurs de ce côtélà. Il faut plutôt espérer que cela soit une opportunité pour l'Union Européenne de revoir sa copie, se réformer ou sombrer dans les limbes avec toute sa bureaucratie. [...]
[...] Ces décisions ne doivent pas, ne peuvent pas être uniformes sur tout un continent, notamment un continent avec des peuples si différents, des vieilles nations à la culture et aux idéaux bien ancrés. Les peuples peuvent-ils être les victimes des fantasmes de quelques bureaucrates qui voudraient les changer à marche forcée ? Les peuples ont bien heureusement encore le droit de décider de la manière dont ils veulent vivre et n'ont pas de mal à discerner, sans qu'on est besoin de le leur expliquer, que le modèle bruxellois est illogique British Army Joins EU Battlegroup As Europhiles STILL Claim EU Army' BREITBART (22/05/2016) 9. [...]
[...] Dans un second cas et de manière encore plus abjecte, le peuple irlandais a du revoté le Traité de Lisbonne. En somme, il avait mal répondu la première fois. On peut d'ailleurs s'interroger les falsifications éventuelles du second vote, l'Union Européenne n'en serait pas à son premier coup d'essai en ce qui concerne passer outre les lois. On pourrait parler d'une tyrannie soft, qui prend son temps. Dans d'autres cas, les média et les politiciens nationaux et européens vont occulter les décisions prises par les peuples contre l'Union Européenne en général. [...]
[...] Mieux encore, le Royaume-Uni serait alors une proie plus facile pour Daesh, rien que ça. Tout cela vient en plus des annonces selon lesquelles les britanniques perdraient moult emplois, pire encore certains au profit des français. Ou comment attiser la haine du français, mais tout est bon pour rester dans l'Union Européenne. On va jusqu'à refaire voter des peuples alors jouer sur le nationalisme un peu bêta pour sauver l'Europe, pourquoi pas. Il faut bien comprendre que le peuple est vu de Bruxelles comme un cheptel, pas très cultivé, de consommateurs-travailleurs. [...]
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