L'histoire de l'Union européenne débute le 18 avril 1951 avec la signature du traité de la CECA, son objectif, selon Robert Schuman et Jean Monnet, étant de « mutualiser » les deux matériaux stratégiques que sont le charbon et l'acier dans un but d'interdépendance économique, facteur de prospérité et de paix.
Cette union a vu le jour grâce à six pays fondateurs qui sont la France, l'Allemagne, l'Italie, la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg. Ils instaurèrent la CEE (communauté économique européenne) qui avait pour objectif premier de créer des institutions politiques afin de gérer l'économie et leur marché commun. Les principales mesures de cette communauté seront : la PAC ( politique agricole commune ) créée en 1958 pour permettre d'étendre et d'adapter l'agriculture à l'échelle de la communauté européenne ; puis la Convention de Schengen en 1985 qui garantit la libre circulation des biens, des personnes et des capitaux.
En 1992 vient la signature du Traité de Maastricht pour remplacer la CEE en faveur de l'Union européenne par le renforcement de l'encadrement institutionnel grâce au Conseil européen qui permet de développer la politique de cette union. Suite à ce Traité, l'euro, monnaie unique, fait son apparition en 2002 pour faciliter et harmoniser les échanges entre les pays membres.
[...] Dans cette inquiétude générale, le fait que le projet européen donne l'impression de ne pas avoir de frontières politiques et géographies constitue l'une des causes de la crise actuelle notamment par rapport à l'adhésion de nouveau pays dans l'Union Européenne mais aussi à cette perte d'identité nationale aux dépens d'une identité unique. I DES LIMITES GEOGRAPHIQUES La politique d'élargissement de l'Union Européenne d'aujourd'hui est régie par l'article 49 du Traité sur l'Union Européenne : tout État européen qui respecte les principes énoncés à l'article paragraphe peut demander à devenir membre de l'Union. [...]
[...] L'amélioration de la gouvernance de la zone euro, le renforcement de la cohésion sociale territoriale, la réforme de la PAC ( politique agricole commune ) sont des défis pour l'économie européenne dans les années à venir. L'union économique et monétaire de l'UE a été lancée en 1992 avec le traité de Maastricht et repose sur deux parties : la création de l'euro qui est donc une monnaie commune et la coordination des politiques économiques et budgétaires des États membres en vue de contribuer à la réalisation des objectifs de l'Union européenne tels que la croissance et l'emploi. [...]
[...] II DES ENJEUX ECONOMIQUES L'économie est un facteur très présent au cœur de l'Union européenne aujourd'hui, car le but fondateur de l'Europe avait été de faire coïncider des intérêts très concrets et matériels ( de salariés, de consommateurs et d'entreprises ) avec les objectifs de long terme de l'Europe ( la paix, un espace commun d'échanges, un destin démocratique partagé L'invention de la communauté du charbon et de l'acier avait été l'instrument, le catalyseur du processus européen. C'est pour cette raison que l'économie joue un rôle important à l'heure actuelle dans l'Union européenne. [...]
[...] Cette même stratégie basée sur les axes de développement économie respectueux de l'environnement ou encore sur la promiscuité des énergies renouvelables reste impossible tant que les pays membres ne seront pas chacun un niveau économiquement stable sinon nous pourrons voir une grande avancée de certains pays quand d'autres seront loin derrière et finiront par ne plus pouvoir suivre. III DES VALEURS NATIONALES Tout d'abord des valeurs morales pour l'Europe : l'Union européenne s'est construite autour d'un projet qui n'est pas exclusivement de nature économique puisqu'il vise la défense et la diffusion de valeurs que partagent tous les pays membres. [...]
[...] Mais la véritable question est de savoir si cette stratégie va réussir là où celle de Lisbonne avait échoué. En effet, la stratégie adoptée dès le départ à du être révisés, mais même après cela il n'a pas été possible d'atteindre le but fixé ; ce qui au final nous prouve que l'Europe des 27 actuelle n'a pas la possibilité d'arriver à ces objectifs. Au vu de la situation, on décide donc de proposer une nouvelle stratégie visant l'année 2020 qui inclut donc dedans les pays qui, aujourd'hui, tentent d'intégrer l'Union européenne, ces mêmes pays qui sont instables économiquement. [...]
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