Événements, européens, période, 1992-2009, monnaie, unique, crise, commission
Le 1er janvier 1995, 3 nouveaux Etats deviennent officiellement membre de l'UE : l'Autriche, la Suède et la Finlande. Les négociations ne posent pas vraiment de problème car leur niveau de vie est très élevé et leur intégration se fait sans souci.
La Norvège et la Suisse avait posé leur candidature mais l'on retiré.
B) l'Europe à 25
Après la chute du mur de Berlin, les PECO ont souhaité adhérer à l'UE car pour les dissidents de l'Europe de l'est servait de référence. Cette adhésion mettait fin à la division historique du continent, et cela leur donnait la possibilité d'appartenir au bloc de l'Ouest et d'en finir avec le bloc russe
[...] Le Conseil européen du 15/12/1995 précise le scénario de la mise en place de l'euro. Pendant la 3ème phase de l'union monétaire, on fixe les parités entre les monnaies de manière irrévocable et un système de banque centrale qui reprend les banques centrales des Etats membres et la BCE à partir du 01/01/1999. On arrête également la liste des Etats qui utiliseront l'Euro et les 1ères pièces et billets sont mis en circulation le 01/01/2002. Actuellement 16 Etats appartiennent à la zone Euro. [...]
[...] Les conférences d'adhésion commencent le 10/11/1999 et finalement à Athènes le 16/04/2003, on signe un traité d'adhésion qui concerne 10 Etats dont 8 PECO : l'Estonie, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne, la République Tchèque, la Slovaquie, la Hongrie, la Slovénie, Malte et la partie grecque de l'ile de Chypre. Ils deviendront membres le 01//05/2004. l'Europe à 27 Ils avaient posé leur adhésion en me temps que les autres mais la commission a estimé qu'ils n'étaient pas prêt en 2004. La commission donnera son accord le 26/11/2006 et ils deviennent officiellement membre le 01/01/2007. [...]
[...] Les candidatures se succède entre celle de la Hongrie et la Slovénie mais les négociations seront beaucoup plus compliqué : d'ordre économique (différence économique entre les membres de l'UE et les PECO), respect des droits de l'Homme qui n'était pas toujours assuré par les PECO, risque de mauvais fonctionnement de l'UE. Le Conseil européen de Madrid des 15-16/12/1995 qui fixe un calendrier pour les adhésions. La Commission fera des rapports réguliers au Conseil sur les progrès réalisés par chaque états candidats. [...]
[...] Après ce rejet, le parlement met en place un commissaire d'expert indépendant pour enquêter sur les irrégularité administratives au sein de la commission. L'enquête se révèle assez accablante pour la commission et l'adoption d'une motion de censure semble inéluctable. Pour l'éviter, la Commission décide de démissionner collectivement. Fin 1999, il en résulte un affaiblissement politique durable au sein des institutions communautaires que ni Romano Prodi, Jose Manuel Barroso n'arriveront à remonter. Le pouvoir de la supranationalité européenne ne cessera donc de diminuer au fil du temps. [...]
[...] Le Parlement l'a accepté de manière très limité. Son capital politique n'aura cesse de s'amoindrir car le Parlement européen emmétra de nombreuses critiques à l'encontre de la gestion de la commission tout comme la presse. Le climat se dégradera entre le parlement et la commission : le parlement refusera même de donner à la commission son quitus pour l'exercice budgétaire 1996, l'accusant d'irrégularité dans la gestion de la commission sur 2 personnes en priorité : Manuel Marin (fraude dans l'aide humanitaire) et Edith Cresson. [...]
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