La Bulgarie et l’Union européenne

Résumé du document

Aujourd'hui la Bulgarie se limite au nord par la Roumanie, à l'est par la mer Noire, au sud par la Turquie et la Grèce, à l'ouest par la Macédoine et la Serbie. La superficie de la Bulgarie est de 110 994 km², Sofia, sa capitale, est la plus grande ville. La population est 7 262 675 habitants. Todor Jivkov fut secrétaire général du Parti communiste de 1954 à 1989.

La Bulgarie rompt avec le communisme en 1989 ; en 1990 et 1991 ont lieu les premières élections libres en cinquante ans. Le nouveau gouvernement se lance dans des réformes économiques et industrielles dont les répercussions sociales mécontentent la population et entraînent sa chute en 1992. Beaucoup de gens ont émigré durant cette période.

Après des années d'instabilité politique, l'Union des forces démocratiques prend le pouvoir en 1997. Depuis lors, les Bulgares envisagent leur avenir avec plus d'optimisme. Bien des personnes, qui ont souvent rejeté certains aspects négatifs du passé, sont pourtant devenues admiratives de la réussite et de l'argent facile créant de nouvelles divisions de la société.

Extraits

[...] Le pays a rompu avec le passé. Le parlement bulgare a adopté le 21 novembre 2002 une déclaration confirmant la volonté du pays de réaliser ses engagements pris en vue de son adhésion à l'OTAN : la poursuite de la modernisation de l'armée, la réforme du système judiciaire, la lutte contre la corruption et la garantie d'une prospérité économique. Développer des relations de plus en plus étroites avec l'Union européenne est devenue pour la Bulgarie une priorité de sa politique extérieure. [...]

[...] Le consommateur bulgare moyen devra survivre avec un salaire des Balkans dans une économie basée sur les prix européens. Mais avec l'UE il y a eu des points négatifs, parce qu'il fallait fermer l'un des réacteurs nucléaires les plus gros et les plus importants des Balkans, Kozloduy. Pour l'Europe cette fermeture a été pour plus grande sécurité, mais pour les Bulgares c'était pas nécessaire parce que les réacteurs ne sont pas très différents que ceux en Europe. En plus le pays cela a forcé le pays d'acheter l'énergie à l'étranger et d'augmenter de manière spectaculaire le prix de l'électricité dans les Balkans . [...]

[...] Les Balkans sont une région considérée à haut risque de conflits. Cet ensemble nécessite d'être stabilisé par la création de nouvelles relations régionales (Pacte de stabilité) conduisant à la sécurité de la région et par conséquent, celle de l'Europe .L'Union Européenne envisage d'ailleurs à long terme une politique de sécurité commune ; La Bulgarie, située à la frontière de l'Occident et de l'Orient, est un lieu de rencontre d'intérêts stratégiques concurrents. En 1992, le Parlement bulgare prenait la décision d'intégrer l'Union européenne et l'OTAN. [...]

[...] Cependant, après leur victoire, les alliés se retournèrent les uns contre les autres, et la Bulgarie perdit une partie de son territoire, au sud. Après ‘empire ottoman et les deux Guerres Mondiales, aujourd'hui la Bulgarie se limite au nord par la Roumanie, à l'est par la mer Noire, au sud par la Turquie et la Grèce, à l'ouest par la Macédoine et la Serbie. La superficie de la Bulgarie est de Sofia, sa capitale, est la plus grande ville. La population est habitants. Todor Jivkov fut secrétaire général du Parti communiste de 1954 à 1989. [...]

[...] En Bulgarie se suivait le modèle de transition de l'Europe Centrale. Il y avait des discussions à la table ronde Les accords signés par les participants aux négociations avaient le caractère de décisions législatives dans la mesure où l'Assemblée nationale en fonction adoptait automatiquement et sans corrections les textes des amendements de la Constitution. De cette façon ont été rendues possibles les modifications de l'ancienne Constitution ainsi que l'adoption des lois nouvelles, indispensables pour la tenue des premières élections libres en Bulgarie en été de 1990. [...]