Depuis le 1er janvier 2020, il est impossible pour tout voyageur de se rendre en Angleterre sans passeport. Cette nouvelle norme est causée par le Brexit, surgit au Royaume-Uni en début d'année. Notre essai aura pour objectif d'interpréter le fonctionnement des institutions politiques du Royaume-Uni et des raisons pour lesquelles le vote n'était pas unanime. Pour cela, quelques notions : une institution politique est l'organisation d'un corps administratif mise en place par des constitutions, des lois, des règlements et des coutumes. Au Royaume-Uni, il existe trois institutions. Une monarchie, présence symbolique, le gouvernement, représentant du pouvoir exécutif et le parlement, détenteur du pouvoir législatif et c'est le représentant David Cameron, du gouvernement, qui soulève la problématique de l'appartenance du Royaume-Uni à l'Union européenne. Pour bien comprendre les enjeux, nous allons nous intéresser aux conséquences du Brexit sur le fonctionnement politique du Royaume-Uni et comment celui-ci a pu dévoiler de nouvelles problématiques, pour cela nous verrons d'abord les conséquences globales du Brexit sur le fonctionnement du Royaume-Uni et ensuite les différences de fonctionnement des institutions avant et après la sécession.
[...] Qu'est-ce que la question du Brexit montre sur le fonctionnement des institutions politiques britanniques ? Depuis le 1er janvier 2020, il est impossible pour tout voyageur de se rendre en Angleterre sans passeport. Cette nouvelle norme est causée par le Brexit, surgit au Royaume-Uni en début d'année. Notre essai aura pour objectif d'interpréter le fonctionnement des institutions politiques du Royaume-Uni et des raisons pour lesquelles le vote n'était pas unanime. Pour cela, quelques notions : une institution politique est l'organisation d'un corps administratif mise en place par des constitutions, des lois, des règlements et des coutumes. [...]
[...] Quant aux votants d'entre eux souhaitent quitter l'Union européenne, mais ce chiffre ne vaut rien si les institutions ne sont pas en accord et c'est le parlement, le parti travailliste et les libéraux démocrates qui incarnent ces institutions. Pour ce qui est de l'impact international, l'un des effets de cette sécession est la subite impossibilité pour les étrangers d'entrer sur le territoire anglais sans avoir à fournir un passeport par exemple, mais aussi, avec le départ du Royaume-Uni, un siège au conseil de l'UE se libère et les échanges internationaux subissent un changement. [...]
[...] Les conséquences globales du Brexit sur le fonctionnement de l'Union européenne La notion de « Brexit » stagne depuis un certain temps en Angleterre, pour ainsi dire, le premier référendum a lieu en 2016 et la décision n'est prise que trois ans et demi plus tard, en 2020. Les institutions politiques reculent la date de décision plusieurs fois avant que le siège de l'UE n'impose un ultimatum au Royaume-Uni, le poussant à prendre une décision. Par ailleurs, c'est seulement grâce au Premier ministre du parti conservateur, Boris Johnson que cette date a pu être repoussée. [...]
[...] Et enfin, l'Irlande, dont l'Angleterre brise le contrat de maintien de la paix entre les deux parties du pays irlandais en s'en allant. Opposé à tous ces groupes, l'une des sections du parti conservateur souhaite appliquer le Brexit tout comme l'UKIP[1], dirigé par Nigel Farage, fervent de la sortie du Royaume uni aux côtés de Boris Johnson, prônant l'émancipation de l'Angleterre. En d'autres mots, lors de ce débat, la majorité absolue était pour le maintien du Royaume-Uni dans l'UE, mais les Institutions pour le Brexit ont su user de la ruse pour repousser les échéances et forcer les votants à changer d'avis, procédure qui a eu son effet puisque le 31 janvier 2020, le Brexit est proclamé. [...]
[...] Dans les autres institutions politiques, les votes sont majoritaires pour la sortie, seul le Parlement résiste encore à la décision nationale, et c'est là que siège tout le pouvoir d'une institution puisqu'en conséquence, de nouvelles élections législatives doivent avoir lieu. Le Premier ministre reste statique sur ses positions, pour lui, le Brexit est une urgence autant pour passer à autre chose que pour « nous concentrer sur les priorités de Britanniques ». En outre, Jeremy Corbyn, membre de la Chambre des communes, l'une des institutions du parlement, n'a su expliquer sa position et est prêt à revoir ses propos lors d'un référendum. [...]
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