HGGSP Histoire Géographie Géopolitique et Sciences politiques, La raison dans l'histoire, géographie, libre circulation, Europe, Education européenne, Réseaux de transport, UE Union Européenne
La mondialisation se comprend en partie grâce aux systèmes de télécommunications et de transports. Le contexte européen est particulier certainement à cause du Traité de Rome : la liberté de circulation. Le but est de favoriser ce projet humaniste et universel en incluant la libre circulation des marchandises, des personnes, des capitaux et des informations. La grande question est la suivante : est-ce que la politique européenne voit le jour en Europe ?
On s'intéresse à la circulation des hommes et des marchandises. Les états ont longtemps gardé le pouvoir de circulation pour eux. Après 1980 et 1990, on décentralise ce pouvoir de circulation. On souhaite lever les obstacles et les effets "frontières" pour permettre la mise en place d'un cadre universel et ainsi créer un nouveau réseau multimodal de circulation.
[...] Les états européens se mettent d'accord pour centraliser et mettre en place un rail unique pour faciliter le cabotage c'est-à-dire ouvrir les liaisons et instaurer des normes. Ici, on va donc favoriser des stratégies d'alliance. Le routier a connu un essor important, il y a un enjeu fort est le coût du transport routier. L'UE a instauré un dispositif où chaque état doit règlementé le routier, exemple les péages ou encore le système de vignettes. L'objectif est de faire financer les pays et les entreprises. Le ferroviaire est le symbole qui pose le plus de problèmes. [...]
[...] L'Union Européenne et la libre circulation : une intégration sur les réseaux de transport Introduction : « le village global » est un concept de Fiori et Mac Luhan 1968. Ces deux chercheurs canadiens travaillent sur le développement des télécommunications. Leur thèse repose sur le monde qui va progressivement se rétrécir et cela est la conséquence de la multiplication des échanges et des interactions plus de frictions et plus de conflits. La mondialisation se comprend en parti grâce aux systèmes de télécommunication et de transports. [...]
[...] Le réseau ferroviaire de Pologne en 1967 est très présent à l'ouest, plus lâche à l'est, au nord et au sud. La Pologne est créée en 1979, les réseaux ferroviaires lui a été construit avant les années 30-47. La Russie a un réseau relativement lâche sauf autour de Varsovie. Jusque dans les années 80, la communauté européenne avait un impact faible, les états gardaient la main. Avec le Traité Maastricht en 1992, il y a une instauration d'une politique des transports. Après le Traité de Lisbonne, l'Union Européenne peut influencer les réseaux de transports. [...]
[...] L'un des grands enjeux est de favoriser l'interconnexions des transports. La construction de réseau de circulation transeuropéen Dès 90, on observe des prémices. En 94, on se décide sur les RTE-T qui sont des réseaux transeuropéens de transport. On liste alors 14 projets aéroportuaires qui en découlent. Le maritime est lui oublié dès 94. A travers, l'UE peut favoriser dès à présent des transports. Les états les plus rapides à mettre en place des projets sont financés plus rapidement par rapport à ceux qui trainent. [...]
[...] La question c'est l'intermodalité entre les autres transports. Le réseau routier est en situation d'expansion. Pologne et Roumanie n'ont pas de réseaux routiers très conséquent. On a une ubiquité, c'est-à-dire le développement du fret sur le routier dans le contexte d'intégration. Le problème du routier permet une grande souplesse mais il y a une incertitude (embouteillage, saturation). Les externalités négatives = le transport est l'un des secteurs les plus pollueurs. Une politique européenne des transports C'est assurer une libre circulation en 1992 pour permettre à tous les lieux d'être accessible le plus rapidement possible. [...]
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