Sphère communicationnelle, avenir de l’Europe, identité européenne, politique européenne, communication
Ce qui pose la question de l'avenir de l'Europe : l'identité européenne est une identité fictive/virtuelle, et elle ne devient réelle qu'à partir du moment où l'on voyage dans d'autres pays européens.
On peut parler de l'identité dans la relation du prénom au nom. Le nom c'est l'appartenance à une famille, et il se distingue par le prénom, par lequel nous avons notre propre destin.
Il existe aussi le problème de l'identité féminine. En effet, elle reste trop omniprésente, car on donne souvent plus d'importance au sexe qu'à la personne en soi (Problème de l'égalité homme/femme).
[...] Malgré le fait que nous avons l'impression de dépendre des lois de notre nation française, la plupart des lois économiques sont en fait européennes alors qu'il n'existe pas de gouvernement européen à proprement parler. Cela veut dire que les présidents représentant pourtant la souveraineté sont déjà sur-encadrés par des obligations et des dimensions européennes, ce qui limite cette souveraineté. Le Redimensionnement 1. La question des ressources naturelles : il existe une prise de conscience mais lente. Ce qui explique cette lenteur c'est que les intérêts nationaux ne convergent pas toujours avec les intérêts mondiaux. Il faudrait donc des organisations supra-nationales pour envisager une connivence mondiale. [...]
[...] Nous sommes de plus en plus indissociablement liés aux objets communicationnels. Le corps humain devient la matrice de références : il est constitué d'un ensemble d'organes physiologiques qui ont chacun une fonction. Cependant, il existe un fort dualisme dans le spiritisme occidental. Nous sommes institués par la Constitution (ensemble de règles) et par l'administration qui a pour but de faire respecter ces règles. Tout cela crée un ensemble : le double régime de la constitution et de l'administration. ( La Sphère communicationnelle La sphère communicationnelle c'est penser les transformations de l'espace public. [...]
[...] Le lien sociétatiste : y a-t-il un lien qui existe entre nous et la nation ? Si la nation n'exige rien de nous, on ne se sent donc pas concerné. Il existe donc un désert de l'affection sociétatiste. L'affection familialiste connaît elle aussi une crise, à cause du nombre croissant de divorces, et connaît en plus de cela une considérable dérégulation, par exemple avec le mariage homosexuel, etc. La fragilité des bases est due à ce redimensionnement dont il est question. [...]
[...] Cela suppose une médiation et un état intermédiaire. La particularité de cet entre-nous c'est que c'est une médiation qui existe mais qui n'est pas palpable. L'idée de l'état et de la communication : L'espace public d'aujourd'hui prend son origine dans celui du XVIIIème siècle : chacun est libre d'exprimer sa propre opinion Cette libre- opinion c'est ce qui va garantir l'espace public et va créer la presse. C'est sur la base d'une presse libre que l'on va pouvoir parler d'un système de relations. [...]
[...] En effet, elle reste trop omniprésente, car on donne souvent plus d'importance au sexe qu'à la personne en soi. (Problème de l'égalité homme/femme.) La reconnaissance d'un état traduit aussi le besoin d'identité (par ex : Palestine.) Selon Robert Escarpit, Le grand chasse le petit, le très grand ramène le petit. Toutes les révolutions se constituent autour d'un territoire et d'une conception du collectif. Elles amènent à la dissolution des régions pour l'Etat-Nation. Jérusalem, Athènes, Rome, sont des berceaux occidentaux du message chrétien qui dépasse la dimension ethnique. On peut donc dépasser l'ethnicité. [...]
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