OSCE, institutions de l'OSCE, charte de Paris, sommet de Budapest, sommet de Helsinki
À la fin des années 1960 et au début des années 1970, l'Union soviétique a pris des initiatives de détente qui ont donné lieu à des précisions de la doctrine que l'URSS défendait quant à ses rapports avec le monde occidental. L'URSS avait pris l'initiative de la création du pacte de Varsovie à partir de 1955 : intégration militaire des États de l'est de l'Europe sous un commandement militaire unifié avec à la tête des forces du pacte de Varsovie un militaire qui était nécessairement un Soviétique. La doctrine officielle de l'URSS était la disparition des alliances et la dénucléarisation de l'Europe.
[...] En revanche dans les pays orthodoxes la difficulté qui s'est posée était la suivante : l'Église orthodoxe a clairement accepté de se soumettre à l'État, en revanche les catholiques se sont trouvé les uns et les autres clairement persécutées au point que les gouvernements communistes ont décidé de l'unité des Églises, et là la persécution a été très forte. Les Soviétiques considèrent que leurs actes respectent la liberté religieuse. Et à partir de la conférence d'Helsinki, le Saint-Siège se crée un instrument juridique pour contester les violations faites auparavant. À partir de là les États européens et le Saint-Siège ont protesté après toutes les violations majeures et les violations de la liberté religieuse et notamment dans le cadre des réunions régulières des ministres des Affaires étrangères. [...]
[...] Entre-temps elle organise des séminaires, et son rôle consiste pour l'essentiel de débattre des questions qui composent l'OSCE. Secrétariat de l'assemblée parlementaire qui est basé à Copenhague. Le secrétariat : placé sous la direction d'un secrétaire général. Le secrétariat fournit le soutien opérationnel nécessaire à l'organisation. C'est le secrétariat qui donne les moyens dont l'organisation a besoin. C'est lui qui organise la coordination des activités. Section 2 : Les organes à compétence technique : Leur liste est liée à l'histoire de l'organisation et aux différentes missions qu'on a entendu lui confier. [...]
[...] Les discussions ont porté sur deux thèmes : question de sécurité et de coopération économique. À partir de 1974 et notamment à l'initiative de la France et du président VGE a été ajouté un troisième thème de discussion : les droits de l'homme. Au terme de ces négociations a été signé le 1er août 1975 l'acte final de la conférence d'Helsinki : il comporte une liste de principes qu'il détaille et ces principes détaillés sont censés être les bases des relations entre les deux systèmes d'alliance en Europe. [...]
[...] Pour assurer le fonctionnement quotidien chaque année un président en exercice est choisi parmi les ministres des Affaires étrangères et il est assisté par le PR de l'année précédente et le PR de l'année suivante. Donc la présidence en exercice. Paragraphe 2 : Les organes permanents plus classiques : Le conseil permanent : c'est un organe permanent qui se réunit une fois par semaine au moins et à tout moment si c'est nécessaire et qui est composé des chefs des missions des différents États participant à l'OSCE. [...]
[...] On a eu tort de penser qu'il parlait de la construction européenne. À la suite, le sommet de Paris tenu en novembre 1990 et auquel ont participé tous les États du continent européen y compris l'URSS et les USA. Les USA sont membre du processus d'Helsinki depuis leur création. Ainsi que le Saint-Siège. Au terme du sommet de Paris est adopté la charte de Paris pour une nouvelle Europe, qui est un complément de l'acte final de la conférence d'Helsinki et qui manifeste la disparition des principes communismes et l'appréhension socialiste des droits de l'homme. [...]
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