Dépendance énergétique de l'Union européenne, égoïsmes nationaux, énergies renouvelables, énergies nucléaires, hydrocarbures, exploitation du schiste, OTAN de l'énergie, prix du pétrole, Gazprom, CEEA, projet Nord Stream 2
Les réserves de gaz sont faibles en Europe (il y en a en mer du Nord, entre les Pays-Bas et le Royaume-Uni), et il n'y a pas de pétrole. Le nucléaire ne suffit pas, quant aux énergies renouvelables, elles se développent, mais restent minoritaires (11% en France, 15% pour l'Espagne, faible en Europe centrale pour moins de 20%, seule la Suède est à 47%). Seule la France compte par ailleurs vraiment sur le nucléaire (75%). L'Allemagne, la Pologne et l'Estonie misent sur le charbon. L'Europe a pourtant d'immenses besoins énergétiques (FMN, consommateurs, transports).
[...] Nucléaire ne suffit pas, renouvelables se dvp mais restent minoritaires ( en France pour Espagne, faible en Europe centrale (moins de seule Suède est à 47%). Seule Fr compte vrmt sur le nucléaire All,Pologne et Estonie sur charbon Immenses besoins (FMN, consommateurs, transports). Ce faisant l'Europe s'avère être dépendante de ses approvisionnements en énergie dép depuis 70's, européens ont avancés frais gazoducs soviétiques, Giscard notamment. Europe a un taux de dép de 54% en 2012. Il est amené à augmenter, nucléaire suscite inquiétudes depuis Tchernobyl, inquiétudes renforcées par la catastrophe de Fukushima, Italie a depuis 86 choisi de fermer ses centrales alors qu'elle était le 3e producteur européen en 70. [...]
[...] En France le marché de l'énergie est public ( parts EDF et GDF) alors que Thatcher a démantelé la compagnie publique GEGB en 15 entités La question de l'énergie ne fait que diviser une Europe déjà fragilisée Les divergences énergétiques sont une divergence de plus qui sépare les Etats et motive les tensions. Les Etats d'Europe de l'est se caractérisent par une situation assez différente de l'Europe de l'ouest (Visegrad?) limites de l'UE, divergences dans d'autres domaines soulèves là encore la question de l'avenir de l'UE qui ne fait pas seulement face à ce défi énergétique mais à une multitude de défis. [...]
[...] La France souhaitait préserver ses avances techs sur le nucléaire. Depuis Kyoto, les Etats convergent tout de même pour taxation progressive du pétrole. Mais situations trop diverses pour faire converger les pol. Europe centrale ne veut pas mesures punitives contre la Russie car très dépendante (Lituanie,Lettonie,Hongrie,Slovaquie) dép à plus de 50% de la Russie. De même les marchés énergétiques ne sont pas soudés, les marchés sont nationaux Les égoïsmes nationaux motivent alors des prises de décisions divergentes contre-choc pétrolier de 2015 Les situations diverses poussent les Etats à chercher des réponses pour eux-même, la France et l'Ukraine perdurent dans le nucléaire ( et dans le bilan), l'Allemagne garde le charbon, les Scandinaves optent pour une généralisation du renouvelable. [...]
[...] Le président polonais Kaczynski a proposé création d'un « OTAN de l'énergie » USA ont divisé par deux leurs importations de pétrole (de 13 à 6 M barils/jour). En 7 ans, USA sont passés de 1e importateur à 1e exportateur et 2e conso, amélioration balance co. Compagnies US en Pologne et en Ukraine GNL ne faisait que marché co en 2016, 1e fournisseur était le Qatar III- mais les divergences entres les Etats semblent compromettre les efforts en ce sens, les solutions apportées sont plus nationales qu'européennes L' «Europe de l'énergie» reste introuvable coop très tôt minée par rivalités des industries allemandes et françaises, puis avec les anglais. [...]
[...] objectifs du Conseil de 1980 : abaissement de la dép de à moins de 50, diversifier sources d'appro et baisser part du pétrole directive du 13 juillet 2009 impose découplage fournisseur et distributeur mais projet Nord Stream 2 sous contrôle de Gazprom compagnies européennes vont participer au financement (dont Engie, et deux allemandes, Shell) L'Europe cherche à diversifier ses partenaires d'importations pour diviser leur pouvoir de nuisance début livraisons de gaz de schiste américain en mars 2016 en Norvège. La commission européenne s'est déclarée pour importat° de gaz de schiste. [...]
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