Dossier d'actualité réalisé en licence économie/gestion, sur le thème du suivi de la politique américaine et de la zone euro. Ce document contient une analyse des facteurs qui ont nécessité un changement du taux directeur des banques centrales américaine et européenne au cours de l'année 2005.
[...] La FED justifie ces relèvements de taux par la bonne santé de l'économie américaine et d'autre part par le risque inflationniste. La croissance américaine s'est accélérée au 3e trimestre à en rythme annuel, contre au 2e trimestre, grâce à des dépenses des ménages toujours solides. Les dépenses de consommation des ménages ont une nouvelle fois compté pour la majeure partie de la croissance du produit intérieur brut (PIB) au troisième trimestre, à hauteur de 2,97 points de pourcentage. Elles ont même accéléré, affichant une progression de après au deuxième trimestre et au premier. [...]
[...] Cette stratégie monétaire a permis à l'Euro de s'apprécier face au Dollar. Les décisions prises entre le 15 septembre et le 30 novembre : La hausse des prix à la consommation dans la zone euro s'est de nouveau ralentie, à en novembre, sur un an, après en octobre et en septembre. Le produit intérieur brut a augmenté de au troisième trimestre 2005, après une hausse de au deuxième trimestre. Le taux d'inflation avait atteint un pic en septembre en raison de la flambée des prix du pétrole, alimentée par le cyclone Katrina aux Etats- Unis. [...]
[...] La politique monétaire a pour objectif d'assurer la stabilité de la monnaie nationale, au niveau interne, par le niveau général des prix, et au niveau externe, par le taux de change de la monnaie nationale en devises étrangères. Toute hausse des prix ayant pour origine une augmentation de la quantité de monnaie en circulation dans l'économie, la politique monétaire vise à maîtriser, la quantité de liquidité disponible dans une économie. La banque centrale maîtrise la stabilité de la monnaie par le biais des taux directeurs. La politique monétaire européenne : Depuis juin 2003 : La Banque centrale Européenne n'a pas changé son taux directeur. Elle a choisi le fixer à (exceptionnellement bas). [...]
[...] Même si le taux d'inflation se situe toujours au-dessus de l'objectif de fixé par la B.C.E. pour la zone euro, ce nouveau ralentissement renforçait l'opinion des opposants à une hausse des taux d'intérêt. Sur un an, la croissance est passée à au troisième trimestre, en hausse par rapport au deuxième trimestre qui affichait Elle s'est accélérée à au troisième trimestre, après au deuxième trimestre. Le premier décembre 2005 : Pour la première fois en cinq ans, après une période prolongée de stabilité monétaire, avec des taux inhabituellement bas, la B.C.E. [...]
[...] Ensuite, la situation économique de la zone euro est moins avantageuse que celle des USA en forte croissance. Pendant notre période d'étude de la politique monétaire, la FEDa pris deux décisions. Celles-ci s'inscrivent dans la stratégie de la FED qui est un durcissement progressif de sa politique monétaire. En effet, le taux directeur est passé de en 2004 à près de au 1er novembre 2005. Il a été décidé d'augmenter le taux directeur de 25 point à 3,75% le 20 septembre et d'augmenter à nouveau ce taux de 25 points à le 1er novembre . [...]
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