Banques centrales, influence décisive, activité économique, organisation bancaire, orthodoxie monétaire
La crise de confiance des banques entre elles n'est pas réglée. Avant 2008, le montant mondial des transactions interbancaires était de 5000 milliards de $ par jour. Aujourd'hui, entre 5000 et 6000 milliards de $/jr. De plus, la pérennité de l'euro est moins assurée qu'avant, il y a toujours autant d'incertitudes. Aussi, l'euro n'est pas plus éloigné du risque d'insolvabilité.
La banque centrale est en train de répondre à une crise de la dette publique, à un krach qu'elle souhaite amortir par des injections massives de liquidités qui continuent d'alimenter la bulle.
[...] Entre nov 2011 et mars 2012 = mds d'€. Fisher : il faut que la BC intervienne pr qu'elle compense des cpts de thésaurisation des MEN par des injections massives de liquidité. Différence BCE/FED : Europe : SEBC soit maitriser l'inflation [...]
[...] TD n°14 : Les Banques Centrales Sujet : Les BC ont-elles eu et ont-elles encore une influence décisive sur l'act écoq ? La pol monétaire Prismes des objectifs Objectifs finals : Carré magique Levier de croiss ou action contra cyclique. 1945-82 : pas de crise fiRe. Dps 1982, hausse des crises fiRes Ex : 1982 : crise d'insolvabilité de 35 PED 1e = Mexique). Crises financières: Crises bancaires (faillite de LB, faillite du Kredit Anstalt) crise de confiance dans le secteur bancaire, risque de credit crunch. [...]
[...] La nécessité de définir un nouveau type de crédibilité (compte tenu de la fin de Bretton-Woods) rend indispensable le respect de règles intangibles affaiblissant les BC. La double crise, des subprimes et des dettes publiques, légitime de nouveau l'action des BC mais il s'agirait plus pour elles d'être les pompiers des crises que d'être un levier de croissance. Les outils de lutte contre la crise des subprimes : ZIRP, injection de liquidités Les outils de lutte contre la crise de la dette publique : prêts LTRO, achat de titres sur le marché secondaire. Les BC : pompiers ou pyromanes ? [...]
[...] Elles sont généralement des banques privées, dont le but est de servir l'intérêt des actionnaires (dividendes) plutôt que l'intérêt général. Elles n'exercent pas de fonctions particulières (pas de spécialisation entre escompte/réescompte, pas de monopole de l'émission fiduciaire pour la BDF jusqu'en 1848, pour la Banque d'Angleterre jusqu'en 1921) La domination des idées quantitativistes, conjuguée à l'orthodoxie monétaire, rendent l'instrumentalisation de la monnaie illusoire. L'importance de la contrainte métallique (Gold puis Gold Exchange Standard) est difficilement compatible avec une BC cherchant à influencer l'activité (dans IS/LM, la BC perd toute autonomie monétaire en changes fixes). [...]
[...] Alr que les obligations offertes sur le marché 2aire = part de la dette. La BCE achète des obligations sur le marché 2aire. Les prêts LTRO (Long Term Refinancing Operation): Inventés par la BCE dps déc 2011 (avec l'arrivée de M.Draghi) qui est la seule à les utiliser. Merkel, nov 2011 : « Ceux qui croient que la BCE peut résoudre seule la crise ne sont pas responsables ». Cet instrument permet de lutter contre la crise bancaire et aider à la résorption de la crise de la dette pu dans la zone €. [...]
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