Les stratégies des entreprises face à la crise, déclassement du capital, augmentation individuel des prix, endettement des entreprises, inflation
Une fois que la crise éclate, que font les entreprises pour restaurer le taux de profit ? Les entreprises arrêtent les flux d'investissements nouveaux, mais il faut même baisser le stock de capital. Il faut réduire le dénominateur de profit/capital, donc le capital. Il a fallu que les entreprises procèdent à la mise au rebut d'une partie du capital. Une fraction du capital investi auparavant a été déclassée. Les entreprises industrielles ont procédé à des déclassements sélectifs du capital.
[...] Cette stratégie n'aurait pu être gagnante que si elle était privilégié une partie des entreprise. Or, toutes les entreprises ont fait la même chose. A partir de ce moment, cela annule, annihile, les effets. E1 augmente sont prix de vente, mais elle achète aussi des moyens de production. Puisque toutes les entreprises ont épousé la même stratégie, y compris les entreprises productrices de biens de production en amont, alors les coûts des entreprises ont commencé à augmenter. La conséquence de l'augmentation des prix est l'inflation. [...]
[...] Les stratégies des entreprises face à la crise Première stratégie : Une fois que la crise éclate, que font les entreprises pour restaurer le taux de profit ? Les entreprises arrêtent les flux d'investissements nouveau, mais il fallait même baisser le stock de capital. Il faut réduire le dénominateur de profit/capital, donc le capital. Il a fallu que les entreprises procèdent à la mise au rebut d'une partie du capital. Une fraction du capital investie auparavant a été déclassée. Les entreprises industrielles ont procédé à des déclassements sélectifs du capital. [...]
[...] En 1979, c'est l'arrivé de Paul Volker à la présidence de la FED. Il y a un procès politique qui entérine l'échec des politiques keynésiennes, puisque chômage et inflation augmentent de paire. Il faut promouvoir le marché, donc la concurrence ainsi que la production privé et la présence de l'Etat doit être la plus faible possible pour que la production reparte (mais non mais non). En 1979, Volker sacre l'arrivé du monétarisme. Les créanciers qui viennent d'installer des gouvernements libéraux au pouvoir veulent favoriser leurs intérêts politiques et économiques. [...]
[...] Les créances dévalorisées se sont vu revalorisées. Ce régime est favorable aux créanciers, et défavorables aux débiteurs. De fait, les capacités de financement des investissements productifs des entreprises ont baissé, donc les investissements productifs ont baissé, et la production aussi. Les USA puis les économies occidentales entre alors en récession entre 1980 et 1984. Pourquoi le nouveau régime de créanciers instaurés par les américains s'est très rapidement propager à l'ensemble des économies industrialiser ? et pourquoi la récession s'est propagée ? [...]
[...] Pour la première fois, on a l'évolution conjointe du chômage et de l'inflation. Effets économiques et sociaux : L'inflation entraine une baisse du taux d'intérêt. Cela nourrit la demande de crédit des entreprises, donc l'endettement des entreprises. Dès lors qu'on a des systèmes bancaires de nature coopérative, qui accepte de perpétuer l'offre de crédit, le résultat est que l'offre de crédit augmente. L'émission monétaire (l'offre de monnaie) augmente également. Dans un premier temps, pour chaque nouvelle unité de monnaie émise, il n'y a pas immédiatement une production réalisée. [...]
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