Politique économique, renouvellement, débat, politique keynésienne, vision keynésienne, augmentation des salaires, organisme de prévision, gouvernement, demande, innovation, politique de relance, crise de 2008, déficit structurel, règles budgétaires, PSC Pacte de Stabilité et de Croissance, TSCG Traité sur la Stabilité la Coordination et la Gouvernance, traité de Maastricht, 1992, 1997, règle de politique économique, règles de comportements, gouvernement discrétionnaire, socialisme, plan de relance, méthode de Friedman, Milton Friedman, règle conjoncturelle
En France, avec l'arrivée des socialistes au pouvoir en 1981 (Mitterrand), il y a l'émergence d'une vision keynésienne avec augmentation des salaires. En amont de ce programme, il y a le Plan qui est un organisme de prévisions pour conseiller le gouvernement pour mettre en place une politique économique. Les économistes du Plan étaient plutôt keynésiens, et même ces derniers conseillaient de ne pas faire de plan de relance, car ce problème venait d'un appareil productif vieillissant, donc ce n'était pas un problème de demande. Ils ont dit qu'il fallait stimuler l'innovation, mais cela a été ignoré par Mitterrand qui a fait une politique de relance keynésienne basique, mais il a rencontré un obstacle, donc cela a délégitimé la politique keynésienne alors qu'il l'avait juste appliquée à mauvais escient.
[...] Dans ce cas-là, on peut sortir de route avec politiques conjoncturelles Idée est de contraindre les États membres à opter pour financement des dépenses qui ne reposent pas sur endettement tout en maintenant possibilité de maintenir l'activité si la crise est profonde durcissement des règles structurelles, mais assouplissement de règles conjoncturelles. Second volet est que maintenant il y a des sanctions alors que ce n'était pas le cas avant Cour de Justice européenne vérifie la règle d'or et peut mettre une amende allant jusqu'à du PIB du pays fautif. [...]
[...] Ne peuvent pas manipuler à leur propre compte. Stabilisent économie, car c'est la seule chose qu'ils peuvent faire. Naturellement, l'économie est stable (contrairement avis KEYNES) et il n'y a que les gouvernements qui créent une instabilité à cause de leurs politiques actives, donc on leur dit d'arrêter et de suivre des règles claires. Donc les acteurs privés ne sont pas perturbés dans leurs anticipations, car ils savent comment les autorités vont réagir, car ils doivent se tenir à la règle énoncée. [...]
[...] Il dit qu'elles perturbent à court terme et à long terme l'effet est nul. À cela, il y a une autre école, l'économie du public choice qui dit que si tout cela est vrai, que les politiques de demande marchent sur un artifice, cela ouvre la possibilité au gouvernement de manipuler la politique économique à son profit. Cette école dit que le gouvernement n'a pas pour objectif le bien-être commun, car cela n'existe pas l'objectif est de maximiser le bien-être des gens qui composent le gouvernement (Premier ministre, président) l'objectif est leur propre bien-être. [...]
[...] Cette école explique que les gouvernements abusent des thèses keynésiennes pour doper l'activité juste avant les élections et même si après cela retombe ce n'est pas grave, car eux ont été réélus. Continue à discréditer les politiques économiques, car manipulation derrière les politiques. Disent donc qu'il faut encadrer l'activité des gouvernements pour ne pas qu'ils fassent cela règles de comportements dans les Constitutions pour ne pas que cela dérive. Une politique de règles Une règle de politique économique décrit comment les autorités publiques vont réagir face aux modifications des variables économiques. Le fait de contraindre l'action des acteurs publics a deux effets positifs. [...]
[...] Politique économique - Le renouvellement du débat sur la politique keynésienne Introduction En France, avec l'arrivée des socialistes au pouvoir en 1981 (MITTERRAND), il y a vision keynésienne avec augmentation des salaires. En amont de ce programme, il y a le Plan qui est un organisme de prévisions pour conseiller le gouvernement pour mettre en place une politique économique. Les économistes du Plan étaient plutôt keynésiens, et même ces derniers conseillaient de ne pas faire de plan de relance, car ce problème venait d'un appareil productif vieillissant, donc pas un problème de demande. [...]
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