Les politiques économiques conjoncturelles

Thèmes abordés

Politiques économiques conjoncturelles, régulation de l'économie, capitalisme, récession, inflation, politique monétaire, modèle ISLM, relancer la demande, dépenses publiques, investissement, Keynes, crise de 1929, financement du déficit, solde budgétaire, crise des subprimes, modelé de mundell fleming

Résumé du document

L'objectif des politiques économiques conjoncturelles est une régulation active de l'économie selon la fonction de stabilisation définie par R. Musgrave (1959). L'intervention de l'État est justifiée, car le capitalisme est par nature instable et a tendance à s'éloigner de l'équilibre. Il s'agit donc de corriger les déséquilibres macroéconomiques nés le plus souvent de chocs exogènes. Il existe des politiques de stabilisation au sens strict, où quand un gouvernement cherche à influencer le niveau de l'emploi et/ou le niveau des prix.

Il existe aussi des politiques contra-cycliques, quand l'État se fixe comme objectif de relancer l'activité économique en période de récession pour favoriser l'emploi. À l'inversement, le gouvernement peut se fixer comme objectif de ralentir l'activité en période de forte expansion afin de contenir toute surchauffe inflationniste. Il y a donc deux instruments : la politique budgétaire et la politique monétaire ou une combinaison dans le cadre de Policy Mix.

Extraits

[...] #plus c elevée moin y'aura de fuite de circuit economique lié a epargné . #le montant de epargne a fin de processus est egal a invest initial . pour keynes ce resultat demontre bien equilibre entre epargne et investissemnt , ainsi les classique rejettent les po de relance keynesiens pck tte investissement necessite une epargne prealable , keynes demontre au contraire que epargne ne peux pas constituer pb qd economie en ss emploi pck cette epargne elle s'ajuste ex-post via variation des revnus Plus c est faible, plus le multiplicateur est efficace. [...]

[...] +risque elevée sur un pays > +etat peu solvable au remboursement > +risque de defaut > +la note est faible +note faib > +tx interet exigé par invest elevées (prime de risque) >+interet elées >+emprunt chere La soutenabilité de la dette quest posée depuis 2010 envolée : tx interet , augmentation deficit , dette . peux pas comparer un etat a entreprise privé , ou a un menage. ( qui eux sont victime du temp ils ont un horizon fini) Contrairement au agents privés, l'État n'a pas un horizon fini )le tx max d'endettement> admis (contrairement aux ménages) car pas besoin de rembourser toutes ses dettes et peux contracter de nouvelles pour rembourser les anciennes. Réponse à la soutenabilité dépend : comment est-elle née ? [...]

[...] en fct de nature depense / recette . pour union europeenne : perimetre est : adm centrale , collectivité territoriale . les recette de cet etat provient alors des prelevement obligatoire . Solde financier = (dépenses - recettes du secteur public) – charge de la dette=> capacité OU besoin de financement. En France en 2014, déficit public = 84,8 milliards d'euros soit du PIB. SOLDE BUDGÉTAIRE PRIMAIRE Déficit budgétaire hors intérêts de la dette >politique du gouvernement. = Aujourd'hui dans nombreux pays, horizon temporel de moyen terme (echeance 1an en general) pour atteindre objectifs de déficits ou de rééquilibrage des comptes publics. [...]

[...] -Le chômage résulte des licenciements par les entreprises au regard de leur volume de production, déterminé en fonction des débouchés anticipés > action correctrice de l'État pour résoudre le problème du sous-emploi. (si y'a chomage c'est a cause de entrep et pas au offreur de travail) / \ la th classique permet pas comprendre crise 29 car manque outil conceptuel pour expliquer surproduction et chomage de masse . sa validité ne concerne qu'une situation ou economie est au plein emploi . [...]

[...] Critique de la loi des débouchés de J.B. Say (Traité d'économie politique, publié en 1803) selon laquelle « l'offre créé sa propre demande » et les produits s'échangent contre des produits. pour Keynes analyse de JB say erroné: JB SAY dit la monnaie ets neutre elle est un simple instrument pour faciliter echanges . peux pas y avoir de crises generalisé de surproduction . tt au plus y a des crise partielle lié au mauvais anticipation des entreprenneurs , ces crise en genral rapide , sectorielle . [...]