Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (NTIC), éclatement des relations salariales, transferts de risques, actionnariat salarié, fonds éthiques
Selon certains ces NTIC conduisent à une économie plus saine: égalitaire et performante grâce à la coopération des cerveaux grâce au réseau et à la circulation et la médiation de facteurs importants; d'autres sont plutôt reservés face à ces NTIC: ils y voient plutôt une forme de décentralisation ou encore une individualisation (l'inverse ayant été le pilier des Trente Glorieuses) ainsi qu'une détérioration des relations sociales. Elle contribue par ailleurs aux inégalités et à la marginalisation, les milieux les plus défavorisés n'y ayant pas forcément accès.
[...] Mais aussi une fracture au sein même des pays développés. On en conclut une marginalisation de certains et une hausse des inégalités entre les classes sociales. Les fondements idéologique de la nouvelle société: En 2000, le MEDEF souhaite réformer l'idéologie jusqu'alors fordiste de l'entreprise. Plus individualiste, le travail primant sur le reste et peu propice (au final) aux syndicats. Les risques sociaux sont par ailleurs transférés sur les salariés, ceux-la gérants eux même leur sécurité et couverture(s) sociale. On voit, par rapport à cet esprit autonome et libertaire, une corrélation avec les idéaux de mai 68. [...]
[...] Néanmoins, les investissements relatifs a cette "moralisation" reste faible, surtout en Europe même si on constate une hausse. Ces "lignes de conduites" pourraient donc être bénéfiques sur le moyen et long terme. La responsabilité sociale des entreprises: une réponse à la contestation: Certains dirigenat veulent une auto-régulation des entreprises pour éviter des excès. Elles doivent faire des profits, certes, mais pas au détriments des acteurs individuels de l'entreprise, quels qu'ils soient. Des codes et autres chartes (voir RSE) sont proclamées en réponse des contestations. Cette démarche vise néanmoins plus de libéralisme. [...]
[...] Puis avec cette nouveauté l'apparition d'un pouvoir des salariés sur leur entreprise. Les salariés peuvent ainsi constituer une partie du capital financier de l'entreprise. Apparition de l'épargne salariale et des "plans Fillon" qui font l'unanimité dans l'entreprise. L'épargne s'oriente alors vers le marché d'action. Leur part dans le capital reste quand même faible. Il est en effet rare que les placements boursiers soient effectués par les salariés. Ce statut n'est néanmoins qu'une illusion: les intérêts du salarié et des actionnaires diffèrent. [...]
[...] Il n'est néanmoins pas sain et pas possible de maintenir un rendement élevé du capital indéfiniement si sa hausse suplante celle du PIB. Par ailleurs la production des entreprises étant destinée à la consommation des ménages, et les ménages étant salariés, ces rendements pourraient devenir néfastes. Les nouvelles formes d'inégalités: Le capital financier et humains sont piliers du capitalisme actuel. Resort une hausse des inégalités de revenu (valorisation du patrimoine et des connaissances de l'individu). Grande différence de détention d'action et de patrimoine selon les revenus. [...]
[...] Le Nouveau Capitalisme, résumé du chapitre Le chapitre est divisé suivant ses différents sujets. L'impact des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication: Selon certains ces NTIC conduisent à une économie plus saine: égalitaire et performante grâce à la coopération des cerveaux grâce au réseau et à la circulation et la médiation de facteurs importants; d'autres sont plutôt reservés face à ces NTIC: ils y voient plutôt une forme de décentralisation ou encore une individualisation (l'inverse ayant été le pilier des Trente Glorieuses) ainsi qu'une détérioration des relations sociales. [...]
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