Hôpitaux de proximité, cliniques privées, dysfonctionnement, consultations, chirurgie ambulatoire
A. Importance économique.
Sur le plan micro économique, les hopitaux sont très important. Si l'on regarde les petites villes, chaque député, chaque maire, défend son hôpital et cela est très difficile à remettre en cause, à rationaliser les hôpitaux car tous les politiques sont contre.
Très difficiles de faire ce que préconise les économistes, baisser le nombre de lit. D'autant que l'on montre que les petits hopitaux sont très dangereux. Si on regarde selon hospitalisation : en font moins, donc moins compétent.
Beaucoup de malades préfèrent les hôpitaux de proximité pour voir leurs proches.
[...] Hopitaux Cellules économiques. A. Importance économique. Sur le plan micro économique, les hopitaux sont très important. Si l'on regarde les petites villes, chaque député, chaque maire, défend son hôpital et cela est très difficile à remettre en cause, à rationaliser les hôpitaux car tous les politiques sont contre. Très difficiles de faire ce que préconise les économistes, baisser le nombre de lit. D'autant que l'on montre que les petits hopitaux sont très dangereux. Si on regarde selon hospitalisation : en font moins, donc moins compétent. [...]
[...] Ensuite on détermine le tarif qui va être remboursé, ou coût moyen. Les hôpitaux essayent de ne pas dépasser le montant rembourser voir mieux essayent de diminuer les coûts de chaque tâche. La conséquence c'est que chaque année les hôpitaux sont amené à baisser les coûts. Ce système permet de résoudre la différence entre les cliniques et les hôpitaux. Mais cela n'arrive pas à résoudre la différence entre les petits et grands hôpitaux. Les hôpitaux reçoivent deux autres budgets qui permettent un peu de compenser les coûts supplémentaires : soit on leur donne plus d'argent quand ils ont des problèmes d'efficacité mais à condition de se restructurer ou s'associer avec d'autres ; il y a des budgets donnés pour compenser certains coûts particuliers comme par exemple l'enseignement, la recherche. [...]
[...] Les hôpitaux ont souvent des difficultés financière alors que les cliniques non. B. L'organisation. Très difficile de savoir l'argent dépensé car la plupart du temps il y aucune spé dans les cliniques et pour les même types d'actes moins cher et inversement actes compliqué (accidents routes, etc.) avec des coûts élevés. Chaque hôpital, ce qui caractérise ce sont des logiques très différentes = services quasi industrialisés (ex : peu perdre la cuisine, lavage, fonction des bâtiments) essayent d'avoir les couts les plus faibles mais tiens compte de l'idée qu'il ne faut pas y avoir de grèves ou de dysfonctionnement = toujours un plan B et une organisation très descriptive. [...]
[...] Liens entre hôpitaux & médecine. Beaucoup d'hôpitaux, surtout beaucoup de cliniques ont des patients qui ont été conseillé par les médecins, envoyer par les médecins notamment pour certaines maladies grave. Les médecins sont condamnés par leurs consciences à suivre les patients. Les problèmes des urgences des hôpitaux viennent des dysfonctionnements des médecins de ville : que 10% d'hospitaliser. Hors ce qu'on voit bien aujourd'hui c'est qu'il est très difficile d'avoir des consultations hors des hôpitaux, les ministres veulent cependant les développer. [...]
[...] On fait payer une partie de chaque dépense au patient. L'idée de base c'est que c'est la seule solution pour que les patients soient responsabilisés. Premier problème : il y a des personnes qui échappent à ses coûts minimum, par exemple les personnes de longues maladies, en plus de ça beaucoup de médecins ferment les yeux. Beaucoup de mutuelle s'engagent à payer la part qui revient au patient. On arrive à une plus grande injustice sociale, car les plus riches ont des bonnes mutuelles et paient moins que ceux qui n'ont pas de bonne mutuelle et moins d'argent. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture