Investissement publique, socialiste, industrialisation, capitalisme, cotisations sociales, délocaliser, externaliser, néo-libéralisme
Il y a une forte évolution des politiques publiques depuis 1945, l'état intervient très fortement dans l'économie et on va voir qu'il va de moins en moins intervenir. Il va y avoir un consensus entre les forces politiques pour que l'Etat planifie la France, pour qu'il soit central. Jusqu'aux années 30, les socialistes radicaux et la CGT étaient contre la planification. L'Etat était alors aux mains de la bourgeoisie et c'est pour cela que les radicaux étaient contre. A partir des années 30, les forces syndicales et politiques changent et beaucoup pensent dorénavant que c'est une idée positive. C'est l'Etat qui va répartir les matières premières, qui va organiser tous les crédits, qui va subventionner certaines entreprises et pas d'autres.
[...] L'Etat n'arrive plus à prévoir l'avenir, il se désengage alors et possède des politiques économiques plus sectorielles, conjoncturelles et ciblées. Un certain nombre d'économistes lié aux sociologues vont en fait montrer que l'on peut analyser les 30 Glorieuses à partir de la notion de capitalisme fordisme (pendant cette période les salaires vont augmenter de par an en contrepartie les salariés vont augmenter leur productivité de machinisme plus important. On peut donc sans problème augmenter les salaires, les profits, et les impôts, les cotisations sociales. [...]
[...] Cette après fordisme a plusieurs noms selon les économistes : capitalisme actionnarial, capitalise patrimonial ou néo- libéralisme. On est dans l'économie plus libérale, il y a une logique qui s'applique à l'état du marché. Exemple : limité les coûts de l'école comme on limite les coûts des entreprises. On a deux théories : la théorie de la régulation : Aglietta, Boyer Robert, Lordon & Lipietz ; l'école des conventions : Orléans. Ces auteurs ont pour caractéristiques d'intégrer les sociologues et de travailler avec eux. Exemple : Bourdieu est repris par la régulation. [...]
[...] La recherche que faut-il développer, dans quels domaines le logement, l'aménagement du territoire. On va aussi donner des objectifs plus économiques sur la monnaie, l'inflation, l'exportation, les taux de change. Dans les années 50-60, cela fonctionne à peu près. Mais dans les années 60, il faut avoir des planifications plus souples. L'avenir devient de plus en plus prévisible. Dans les années 70-80, les objectifs ne sont plus atteint, c'est une période où cela dysfonctionne dans tous les pays, le chômage va augmenter, l'inflation aussi. [...]
[...] L'Histoire des politiques publiques. Il y a une forte évolution des politiques publiques depuis 1945, l'état intervient très fortement dans l'économie et on va voir qu'il va de moins en moins intervenir. Il va y avoir un consensus entre les forces politiques pour que l'Etat planifie la France, pour qu'il soit central. Jusqu'aux années 30, les socialistes radicaux et la CGT étaient contre la planification. L'Etat était alors aux mains de la bourgeoisie et c'est pour cela que les radicaux étaient contre. [...]
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