Les entreprises françaises, mondialisation, fin 20ème jusqu'à nos jours, marchés internationaux, accroissement
Mondialisation : phénomène qui se caractérise par l'accroissement et l'internationalisation des échanges de tout ordre (marchandises, capitaux, informations et hommes).
Les entreprises sont les moteurs de la mondialisation.
FMN (firme multinationale) plus grande que FTN (firme transnationale) = multinationales qui sont au cœur de la mondialisation et donc souvent critiquées : elles sont présentées comme dérive libéralisme. Les entreprises françaises sont confrontées à la crise et à la dépression, elles vont souvent faire le choix de l'internationalisation pour sortir de la crise. La mondialisation va avoir un effet sélectif sur les entreprises : celles qui vont s'en sortir et les autres non.
[...] Les entreprises sont les moteurs de la mondialisation. FMN (firme multinationale) plus grande que FTN (firme transnationale) = multinationales qui sont au cœur de la mondialisation et donc souvent critiquées : elles sont présentées comme dérive libéralisme. Les entreprises françaises sont confrontées à la crise et à la dépression, elles vont souvent faire le choix de l'internationalisation pour sortir de la crise. La mondialisation va avoir un effet sélectif sur les entreprises : celles qui vont s'en sortir et les autres non. [...]
[...] Caractère familial : entreprise transmise des parents à leurs enfants. Cela est très fréquent en France et particulièrement dans le textile. Stratégie de niche : spécialisation dans un petit marché et sont très performants. Stratégie industrielle : intégration de tout le processus de fabrication. L'entreprise contrôle tout. Crise du textile : dans les 80's. Suite aux chocs pétroliers, suit une dépression. Il y a des secteurs qui vont mourir (mines Le plus touché en France est le textile. ( Le textile a survécu grâce aux innovations : en matière de produit et à la vente (sur internet). [...]
[...] Les entreprises ont donc du faire appel à des capitaux étrangers. Mouvement de concentration industrielle : naissance de structure géante. Opérations de croissance externe : Peugeot et Michelin partis à la conquête de marchés lointains. La gouvernance : qui gouverne l'entreprise ? En France danger pas réel car les entreprises restent familiales en France). Les 250 plus grandes entreprises françaises forment l'indice SBF 250 à la Bourse : parmi elles 120 relèvent encore du capitalisme familial (l'Oréal avec la famille Bettencourt, Lagardère avec la famille Bouygues et LVMH avec la famille Arnault). [...]
[...] Les grandes entreprises françaises ont adopté une structure décentralisée dès la fin du 19ème siècle rupture avec la tradition de centralisation. Modèle américain de Chandler. Exemple : Pernod-Ricard mode d'organisation décentralisé, le groupe est organisé en une Holding et en filiales. Holding : terme qui désigne la tête d'un groupe, c'est-à-dire la structure qui contrôle tout un ensemble de filiales à partir de participation financière majoritaire. Ex : Pernod Ricard. =la maison mère. Les filiales prennent des décisions opérationnelles sur le terrain. [...]
[...] La réussite de cette entreprise : la qualité du produit, ancrage dans la région et 1500 points de vente. Ils ont résisté aux délocalisations. Ils ont une filiale en Tunisie qui embauchent 100 personnes. Principe d'éco conception : attention particulière prêtée aux matériaux utilisés, suivi de leurs stocks même après la vente, recyclage si nécessaire et enfin surtout ils ont développé un programme d'éducation avec leur personnel à l'écologie. Chaussures pas compétitives en terme de coût. ( Leclerc Voyages : né début 90's, filiale de Leclerc qui travaille à perte au début mais grâce à la grandeur et puissance du groupe cette filiale s'en sort. [...]
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