Si l'activité économique repose sur la production, son augmentation devient le principal souci de toute société organisée. Cette augmentation, c'est la croissance, qui représente la préoccupation majeure des pouvoirs publics.
Cette croissance n'est pas linéaire. Elle demeure soumise à des fluctuations qualifiées de cycles économiques qui dépendent des facteurs multiples (...)
[...] La croissance apparait comme inégale. On parle de cycle de la croissance. Les quatre phases du cycle sont l'expansion (hausse de la production), la crise (problèmes rencontrés), la récession ou la dépression (recul économique) et la reprise fondée sur des innovations technologiques (vapeur, électricité, informatique Il existe plusieurs cycles analysés par les économistes en fonction de leur durée. Les variations économiques saisonnières correspondent à un cycle très court. Le cycle Kitchin se manifeste sur une durée de 3 ans environ. [...]
[...] Il repose sur l'apparition des technologies nouvelles. Les trends ou tendances sont des cycles longs (un siècle ou plus). Ces variations dépendent de divers événements : crise financière, baisse de la demande, conflits sociaux, guerres, tensions internationales, inflation, manque d'innovation, concurrence étrangère, fiscalité démotivante, conjoncture défavorable, problèmes structurels de l'industrie, instabilité économique, intervention insuffisante des Etats Dans ces conditions, les gouvernements tentent de maitriser ces problèmes en essayant de mener des politiques économiques adaptées Les politiques menées en faveur de la croissance Les politiques menés en faveur de la croissance peuvent prendre des aspects très différents. [...]
[...] L'Etat peut également influer le droit en créant des structures adaptés comme c'est le cas pour la création d'entreprise ou leur développement grâce à de nouveaux statuts juridiques Conclusion Nous venons de montrer que la croissance était soumise à des fluctuations de nature et de durée très diverses et que l'Etat, notamment dans les romans de la crise, tentait de maitriser ce processus essentiel de l'activité économique. Il n'en reste pas moins que l'internationalisation des facteurs d'inflation rend la possibilité d'intervention de l'Etat moindre et augmente considérablement le risque de multiplication des crises, tant que certaines réformes du système libéral mondial ne seront pas effectuées. Mais la croissance est-elle véritablement la source du bonheur de la population ? La décroissance, qui permettrait d'embaucher plus en limitant les moyens de productions modernes n'est-elle pas un système acceptable ? [...]
[...] Cette croissance n'est pas linéaire. Elle demeure soumise à des fluctuations qualifiées de cycles économiques qui dépendent des facteurs multiples. Les états essayent d'agir sur la croissance à travers des mesures diverses qui constituent une grande partie de la politique économique. Après avoir montré le caractère irrégulier de la croissance, nous présenterons les différentes politiques pouvant être menées par les Etats en matière de croissance Les fluctuations de la croissance économique La croissance économique représente l'augmentation des richesses d'un pays sur une longue période. [...]
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