Universalité, unité, dépenses de santé, centres hospitalo-universitaires, hôpitaux secondaires
William Beveridge proche de Durkheim, a qui Churchill pendant la guerre à demander un rapport. Beveridge, va vouloir un état providence minimum, qui correspond bien à l'idée anglo-saxonne. Il y a trois principes :
* L'universalité, l'idée que tous les citoyens britanniques même les étrangers réguliers doivent être protégé (mais comme on le voit plus tard, au minimum).
* L'unité, il va penser qu'il faut une administration pour un type de risque.
* Assurance maladie au minimum. Pour que cela soit compatible avec l'économie, il faut que les impôts soient faibles, ce qui permet de donner à chacun un minimum.
Autrement dit c'est le parlement qui décide des dépenses de santé et met un plafond de dépense. Les médecins sont des salariés et doivent obéir à l'Etat.
Cela s'est mis en place dans de nombreux pays en même temps.
[...] = presque très socialiste. Il y a aussi une question de priorité à gérer dans le même temps avec les dépenses. Thèmes ou l'on peut faire des économies : * Budget pour la formation : médecins et recherches. * Budget pour les grands malades : pas trop possible. * Médecine de ville : centralisation. Mais on fait des économies sur le reste, des gens très malades, les personnes âgées qui ont besoin de grosses opérations. à Comparaison coût/avantage. Système choquant pour les français. [...]
[...] Souvent c'est médecin travaillent en groupe. Ils sont incités à respecter la stratégie du ministère, ils sont rémunérer en fonction de cela. Du coup ils sont mieux payer car ils font faire des économies. Mais le patient choisit son médecin, on peut changer dans le cas où son jugement ne convient pas. Le secteur privé. Dans un tel système on a nécessairement un secteur privé, qui permet de résoudre les difficultés pour les personnes plus riches. Et des assurances privés qui permettent d'être soignés par des médecins privés. [...]
[...] Les hôpitaux sont détériorés à l'inverse de la France. * Capacité de se réformer comme tout est étatique, car le minimum santé se regroupe avec les médecins pour réformer. Question des rationnements : les autorités déterminent des budgets : cela aboutit à ce que des soins ne soient pas effectués. Il y a plein de file d'attente pour les maladies ou opérations secondaires. En Suède la file d'attente est plus faible, car plus de moyens. Le système anglais, est moins performant, plus lent. [...]
[...] Beveridge : l'assurance maladie universelle. A. Principes. William Beveridge proche de Durkheim, a qui Churchill pendant la guerre à demander un rapport. Beveridge, va vouloir un état providence minimum, qui correspond bien à l'idée anglo-saxonne. Il y a trois principes : * L'universalité, l'idée que tous les citoyens britanniques même les étrangers réguliers doivent être protégé (mais comme on le voit plus tard, au minimum). * L'unité, il va penser qu'il faut une administration pour un type de risque. * Assurance maladie au minimum. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture