Macroéconomie, P. Krugman, économies de marché, offre et demande, croissance économique, système financier, fluctuations économiques
Une économie est un système de coordination des activités productives d'une société.
La science économique est l'étude des économies, à l'échelle des individus et de la société dans son ensemble.
Une économie de marché est une économie dans laquelle les décisions de production et de consommation sont prises par des producteurs et consommateurs individuels.
Les économies de marché sont capables de coordonner même des activités très complexes, de fournir aux consommateurs biens et services qu'ils désirent (« chaos non planifié » se révèle plus ordonné que la « planification »).
C'est la main invisible qui fait que la poursuite individuelle de l'intérêt personnel peut mener à des résultats favorables pour la société dans son ensemble.
[...] On combine cette courbe avec la courbe de demande. La Fed peut augmenter ou diminuer l'offre de monnaie (chap. notamment par le biais des opérations d'open market : ainsi la courbe d'offre est verticale. La Fed peut ainsi choisir l'offre de monnaie qui lui permettra d'atteindre sa cible de taux d'intérêt. Elle peut placer la courbe d'offre de manière à ce qu'elle croise la courbe de demande à un taux d'intérêt d'équilibre précis (à l'endroit où quantité demandée = offre de monnaie). [...]
[...] Parfois, on détruit les surplus, parfois le gouvernement paie le producteur pour qu'il ne produise pas. (Le gouvernement ne peut pas revendre les produits, car déprime du marché, gouvernement doit alors racheter!) Le surplus signifie que les vendeurs potentiels ne trouvent pas d'acheteur : dans la théorie, avec un salaire minimum, le chômage apparaît (des personnes qui veulent travailler ne peuvent pas trouver d'employeurs désireux de leur fournir des emplois.) Pourquoi un prix plancher est facteur d'inefficacité A. Une quantité inefficacement faible Augmente prix du bien pour consommateurs réduit quantité demandée de ce bien réduction de la quantité d'un bien achetée et vendue en dessous de la quantité d'équilibre de marché perte sèche réduction du surplus total. [...]
[...] Graphiquement, le surplus total du consommateur généra par les achats d'un bien à prix donné est égal à la zone située sous la courbe de demande au-dessus du prix. Comment les variations de prix affectent le surplus du consommateur En cas de baisse des prix : elles affectent le surplus en ce qu'elles augmentent le surplus des consommateurs qui étaient déjà disposés à payer le prix ; et en ce qu'elles fait gagner un surplus pour ceux qui ne comptaient pas payer le produit auparavant. [...]
[...] La réduction de l'inflation aux EU entre 78 et 88 eut un coût élevé, notamment en terme de chômage (récession de 81-82 : taux de le niveau le plus élevé depuis la Grande Dépression). De nombreux économistes pensent qu'une période de chômage élevée est le seul moyen de réduire une inflation profondément ancrée dans l'économie (en ce sens qu'il faut déprimer l'économie). C'est pourquoi on essaie plutôt d'éviter d'avoir un grave problème d'inflation. On remarque ainsi dans les pays développés des réactions vigoureuses dès que des signes de reprise de l'inflation apparaissent. [...]
[...] Mais les firmes sont aussi touchées : les profits baissent. Comment dompter de cycle d'activité Si Keynes a montré comment lutter contre les récessions ; des travaux ultérieurs, comme ceux de Friedman, montrèrent aussi, suivi d'un consensus, qu'il faut calmer les périodes de boom économique. Ainsi essaie-t-on de lisser le cycle d'activité La croissance économique à long terme Un américain en 1955 se croyait le plus riche du monde (à raison). Pourtant, comparativement à aujourd'hui, il était pauvre. Et cela, en raison de la croissance économique à long terme qui est la tendance à l'augmentation soutenue de la production de l'économie dans le temps. [...]
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