Un pays est dit émergent quand son PIB par habitant est inférieur à celui des pays développés, mais qu'il connait une croissance économique rapide, et dont le niveau de vie ainsi que les structures économiques convergent vers ceux des pays développés.
En général, les pays en développement ou pays du Sud sont des pays moins développés économiquement que les pays du Nord ou pays développés. Ces expressions permettent de remplacer des dénominations antérieures et inadéquates : les pays du tiers monde, les pays sous-développés. Elle s'est substituée à l'expression « pays en voie de développement », mais les deux expressions sont synonymes.
Les pays les moins avancés (PMA) ne constituent pas une catégorie distincte : la plupart des PMA sont des pays en développement, des pays engagés dans un processus de développement.
[...] Par la suite, la fiscalité douanière a été réformée, ainsi que les impôts indirects, plusieurs accords de non double imposition avec plusieurs pays. Pour rappel la double imposition est une notion fiscale qui désigne le fait qu'une personne physique ou morale paye deux fois un impôt sur le même revenu. Aujourd'hui le Maroc a réussi à conclure un certain nombre d'accords de libre-échange (pays en rouge dans la carte ci-dessous) sur certains produits qui favorisent les échanges commerciaux avec l'étranger. [...]
[...] conversion de la dette extérieure publique en investissement) D'ordre fiscal (ex. exonération IS et IGR dans les zones franches) Aujourd'hui, les IDE sont au cœur de la stratégie économique du Maroc, et cela s'est traduit par un ensemble de réformes structurantes visant à augmenter l'attractivité du pays. Historiquement les secteurs comme le tourisme, l'agriculture et l'industrie offraient de bonnes opportunités d'investissements. Aujourd'hui le panel de ces secteurs, grâce à des projets ambitieux initiés par le Maroc, s'est élargi à d'autres secteurs que sont l'agroalimentaire, l'aéronautique, les énergies renouvelables, le service et les TIC, la logistique et la distribution. [...]
[...] Toutefois, cela n'est pas suffisant, la croissance économique du pays restant insuffisante, en grande partie influencée par les grandes sécheresses dont la fréquence augmente, ayant une incidence sur le secteur clé qu'est l'agriculture. Le Maroc établit sa balance budgétaire selon les normes du Fond Monétaire Internationale dont voici ci-dessous l'évolution de certains postes entre les années 2011 et 2012. Poste de la balance des paiements au 30/11/2012 (source : Office des changes) La dynamique de la main d'œuvre (productivité du travail, cout unitaire, qualification). [...]
[...] La stabilité sociale (PIB par habitant, indice du développement humain, indice de perception de la corruption). L'indice de développement humain permet de mesurer la longévité, l'instruction et le niveau de vie d'un pays (PPA). Même si cet indicateur a augmenté de 60% en 30 ans au Maroc, il ne progresse plus et le Maroc est bien loin derrière des pays comme la Tunisie et l'Algérie. La variable temps étant également une donnée incompressible afin de mesurer les effets des réformes majeures entreprises sur le sujet. [...]
[...] Le TCER et le PIB par habitant devant être en parité de pouvoir d'achat aussi bien pour le Maroc que pour les pays partenaires. Sur cet aspect le Maroc ne dispose pas beaucoup de marge de manœuvre de dépréciation de sa monnaie, contrairement à d'autres pays qui par des manœuvres de dépréciation peuvent augmenter leur compétitivité extérieure. Le développement technologique (dépenses en accès aux TIC, diffusion des technologies). Une économie basée aussi sur la connaissance et le savoir permet de pénétrer de nouveaux marchés. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture