Face aux problèmes économiques qu'a pu rencontrer le monde, et plus précisément l'Union Européenne ces 2 dernières années, face à l'inflation qui gronde, le seul moyen que l'on pourrait voir pour faire cesser ces anomalies seraient d'agir sur un niveau continental, pour ne pas dire à l'échelle d'une organisation économique, comme la Zone Euro. Néanmoins, la difficulté s'admet être bien supérieure quand il s'agit de trouver un terrain d'entente lorsque le nombre de pays concerné est de 15. Tous n'ayant pas les mêmes ambitions, les mêmes situations et surtout les mêmes politiques. Cependant, tous s'accordent sur une volonté commune de réussite, de prospérité, de situation moins précaire, et surtout de fuir l'inflation. Tout étant régit à l'échelle Européenne, cela pose toutefois quelques problèmes. En effet, en mémoire, on peut par exemple citer le taux d'intérêt directeur, que Jean Claude Trichet, directeur de la Banque Centrale Européenne, avait voulu rester inchangé, mais qui après des mois et des mois de demande des chefs d'Etats, et au vue de la dégradation des marchés, s'est vu contraint et forcé, au mois d'Avril (2009), s'est vu subitement rabaissé à 1,25% (alors qu'il n'était encore qu'à 4,25% 6 mois auparavant ...).
Compte tenu de ces avancés, de ces évolutions, mais aussi des échecs qu'a pu connaître l'UE sur le plan économique, nous pouvons donc plus précisément nous demander quel bilan précis on peut dresser sur les politiques économiques qui ont été menées au sein de la « zone euro ».
[...] Il faut donc qu'il y ait une volonté politique d'engagement au pacte de stabilité et de croissance afin de rendre le tout plus performant. Les objectifs communs de lutte contre l'inflation, d'objectif de croissance, de plein emploi, ne peuvent être espérés que si l'entente et la volonté sont communes. Néanmoins, cela n'est pas sans être sans ambigüité. En effet, si on s'attarde par exemple sur le cas de la mise en place d'une monnaie unique, qui avait pour but de simplifier les échanges, on peut se rendre compte que tous les pays n'y ont pas adhéré ! [...]
[...] ou encore la mise en place de l'euro qui était une devise internationale capable de concurrencer le dollar. Aujourd'hui, de par la crise économique mondiale, cette devise, l'euro, culmine face au dollar. Néanmoins, du fait de cette même crise économique, la zone euro doit faire face à une certaine inflation, malgré tous les efforts mis en oeuvres concernant la stabilité des prix. Pour conclure, on peut donc dire que les bilans sont nuancés, il est nécessaire de tout faire pour équilibrer les différentes stratégies économiques, monétaires, budgétaires, et ce au niveau européen afin que l'économie ne se dégrade pas et que la communauté garde son rang de leader et de concurrent direct avec les autres grandes puissances économiques qui rythment les activités et les flux mondiaux. [...]
[...] Maintenant que nous avons vu ce qu'était une politique budgétaire et quels étaient les impacts que cela comportait, nous allons voir ce qu'est la politique monétaire et de change commun et quelles en sont les conséquences. Sur un plan différent du plan budgétaire, sur le plan monétaire, c'est-à-dire l'ensemble des mesures qui sont destinées à agir sur les conditions au financement de l'économie et qui sont mises en oeuvre par la banque centrale de la communauté. De même, sur le plan de la politique de charges, c'est-à-dire sur ce qui fait partie de la politique monétaire et qui sert à déterminer le comportement du taux de change de la monnaie vis-à- vis des autres devises, par exemple. [...]
[...] Politiques économiques menées en Zone Euro : quel bilan doit-on en dresser? Face aux problèmes économiques qu'a pu rencontrer le monde, et plus précisément l'Union européenne ces 2 dernières années, face à l'inflation qui gronde, le seul moyen que l'on pourrait voir pour faire cesser ces anomalies seraient d'agir sur un niveau continental, pour ne pas dire à l'échelle d'une organisation économique, comme la Zone Euro. Néanmoins, la difficulté s'admet être bien supérieure quand il s'agit de trouver un terrain d'entente lorsque le nombre de pays concerné est de 15. [...]
[...] Combinée à cette politique budgétaire, dans le cas de la zone euro, on trouve le pacte de stabilité et de croissance. Celui-ci désigne un ensemble de critères que les pays de la zone se sont engagés à respecter vis-à-vis de leurs partenaires (afin de coordonner les politiques budgétaires nationales, pour éviter l'apparition des déficits budgétaires excessifs [obligation à terme d'avoir des budgets proches de l'équilibre ou excédentaires]). La zone euro et plus précisément L'UEM (Union Economique Monétaire) ne peut fonctionner que si tous les pays s'y accordent. [...]
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