Depuis 2006 le monde a essuyé la crise la plus grave de son histoire. Ce n'est pas la première fois que le monde subit une crise économique d'envergure mondiale. On se souvient de la crise de la Tullipe en Hollande, ou les premiers méfaits de la spéculation virent le jour, la crise de 1929 ou l'on vit le marché bancaire s'effondrer lors du jeudi noir, et bien sur la crise des subprimes qui nous a amenée à la crise éco que nous vivons actuellement.
En effet, depuis la chute du communisme le monde à adopter le modèle américain, le capitalisme : the way of life, autour d'une économie de marché, qui confronte l'offre et la demande sans régulation telle qu'elle soit.
Parallèlement on s'est toujours interroger sur le rôle de l'Etat dans la vie économique, notamment pendant ces crises.
Certains économistes, tel KEYNES prône un Etat interventionniste, d'autre comme SMITH, un libéralisme total (Main invisible), les théories divergent.
Mais au-delà des controverses, et quels que soient les époques ou les pays, il semble que l'Etat soit indispensable dans une économie de marché ; les Etats ne cessent d'intervenir afin de tenter de réguler leurs économies, de plus en plus volatile dans le temps.
Mais dans quelle mesure peut-on dire que l'économie de marché est-elle inévitable ? Est-elle nécessaire dans une économie de marché ?
[...] Par ailleurs, l'état joue aussi un rôle dans la gestion des monopoles naturels car ces dernières peuvent avoir des désavantages pour le consommateur du à son pouvoir sur les prix dont il voudra tirer parti. L'état peut donc être amené à régler et corriger cette situation soit par une réglementation de son activité monopolistique, soit par la taxation ou encore par la nationalisation. L'état est présent alors pour l'empêcher d'exploiter son pouvoir de marché. Enfin, l'état corrige aussi les disfonctionnement de l'économie en contrôlant les prix car certains prix ne sont pas socialement souhaite. [...]
[...] Au XX siècle, l'état est intervenu afin de redistribuer une partie des revenues primaires. La répartition se fait selon deux types de transfert qui sont le transfert économique : ce sont des biens ou des services gratuits ou quasi gratuit que fournit l'état pour tous (enseignement, police ) ainsi que des subventions aux entreprise afin de leurs permettre de se développer et d'améliorer leurs situation financière. Les transferts sociaux permettent de réduire les couts endurés par certains ménages, ces transferts sociaux se présente sous la forme de prestation sociale financés par les cotisations. [...]
[...] Ainsi, on peut dire que l'intervention de l'état, même au sein d'un marché autorégulateur est nécessaire pour maintenir un certain équilibre, un bien-être commun, pour éviter et corriger les excès et les disfonctionnement du marché actuel et relancer l'économie en cas de situation économique fragile. De ce fait, l'état est bénéfique dans l'économie et peut être considérée comme le suppléant du marché Cependant, pour certain économiste l'intervention de l'état n'est pas toujours bénéfique. Pour les économistes libéraux, l'état perturberait l'équilibre naturel spontané du marché. [...]
[...] Cependant, la réduction des impôts n'atteint pas un succès réel car les recettes fiscales sont en conséquence en diminution n'étant plus suffisant pour les dépenses publiques conduisant à une dette publique importante. - Les contradictions d'une économie moderne Les médias mettent sans cesse en évidence les contradictions de la société actuelle. Tout d'abord l'état rencontre des difficultés quant au budget par faute de manœuvres possibles. En effet, l'écart entre le niveau de dépenses de l'état, les prestations sociales, de solidarité et le niveau des recettes publiques fait naitre les contradictions de notre société. [...]
[...] La politique budgétaire a tendance à faire accroitre la dette publique. En effet, l'augmentation de la dette publique conduit à des effets destructeurs. Selon l'INSEE, la dette publique en France a atteint environ 80% du PIB lié au déficit budgétaire. Ainsi, l'état est obligé d'emprunter ce qui sous-entend que l'état doit payer des intérêts annuels financé par les recettes budgétaire ce qui accentue encore plus la dette publique : c'est un cercle vicieux. De plus, la conséquence en est qu'il y a un effet d'éviction : l'état en empruntant nuit au financement de l'investissement privée en faisant grimper les taux d'intérêts. [...]
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