La division travail a permis d'accroitre la richesse des nations mais aussi d'augmenter spectaculairement « la puissance productive du travail » (document 1). Smith place le travail au sein de son analyse car selon lui il n'y a que le travail qui puisse créer de la richesse. Mais selon lui la «division du travail» (document 1) permet l'augmentation de la richesse des nations car elle augmente la force productive du travail, c'est-à-dire de la productivité. Trois facteurs expliquent que la «division du travail» (document 1) augmente la productivité des travailleurs, le premier étant la spécialisation de l'ouvrier dans une tâche simple mais répétitive. Le second est le temps gagné par l'ouvrier a ne pas changer d'outil et a ne pas ce déplacer pour changer de poste. Le troisième, est la mécanisation des tâches, la «division du travail» (document 1) permet d'utiliser de nouvelles machines dans le but d'accélérer la production de faire augmenter la productivité de l'entreprise. A ces trois conditions on peut rajouter un principe primordial énoncé par Babbage mais cette fois qui ne touche pas le domaine technique de la production mais touche le domaine économique. Ce principe est fondé sur la subdivision du travailqui permet de ne payer, pour une tâche, que le salaire le plus faible nécessaire à l'accomplissement de cette tâche
[...] De nos jours les évolutions de la division du travail sont notables notamment grâce au Toyotisme qui a révolutionné le travail en créant une nouvelle façon de travailler, qui permet de rendre le travailleur plus attaché à ce qu'il produit et peut donc plus ce centrer sur le qualité du produit. Serait-il possible de ce demander si avec une conjoncture économique future une nouvelle organisation du travail pourrait-elle être imaginée ? [...]
[...] Mais l'organisation scientifique du travail n'est pas morte. Ces nouvelles organisations du travail post- tayloristes ne sont jamais vraiment diffusées à grande échelle et le travail continu à être fortement divisé au sein de l'entreprise. De plus, le taylorisme gagne le secteur des services et fait apparaître des organisations néo-tayloristes comme par exemple dans la restauration rapide, dans les banques ou les assurances.« La «division du travail» (document n'est plus la même que celle que Taylor et Ford ont appliqué. [...]
[...] Selon Smith un homme ne peut vivre sans l'aide des autres hommes, mais il ne doit cependant pas attendre leur amabilité, car les autres hommes ne l'aideront que s'ils en voient un intérêt. L'intérêt de tout cela est que chaque homme se spécialise dans la fabrication de ce qu'il est le plus habile. La «division du travail» (document une fois généralement établie, chaque homme en produit que de quoi satisfaire une très petite partie de ses besoins. La plus grande partie ne peut être satisfaite que par l'échange du surplus de ce produit qui excède sa consommation, contre un pareil surplus de travail des autres. [...]
[...] A ces trois conditions on peut rajouter un principe primordial énoncé par Babbage mais cette fois qui ne touche pas le domaine technique de la production mais touche le domaine économique. Ce principe est fondé sur la subdivision du travailqui permet de ne payer, pour une tâche, que le salaire le plus faible nécessaire à l'accomplissement de cette tâche. La «division du travail» (document permet surtout aux patrons de minimiser la masse salariale par un jeu sur la structure de l'emploi. En effet la «division du travail» (document permettrait aux patrons d'acheter la quantité exacte d'habileté et de force qui leur est nécessaire. [...]
[...] Il est primordial pour lui d'accentuer la «division du travail» (document mais aussi d'instaurer des normes précises de gestes et de temps. Ce principe Taylorien se base sur la division verticale du travail c'est-à-dire la séparation entre les tâches d'exécution dans les ateliers et les taches de conception dans les bureaux. Il se base aussi sur le salaire au rendement dans le seul but de motiver les travailleurs. Le Fordisme reprend les principes du Taylorisme en y incorporant la chaine tractée, c'est la production qui ce déplace et non plus les ouvriers et qui permet de moins utiliser de main d'œuvre. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture