Etat, interventionnisme, autorégulation, Covid-19, point de retournement, taux de croissance, chocs pétroliers, progrès social, ralentissement économique, libéralisme, Sécurité sociale, crise sanitaire
L'ampleur de la crise provoque de nombreuses interrogations économiques au sujet de l'action de l'État pour sa nation. La pandémie du Covid-19 a apporté de lourdes conséquences sanitaire, politique, sociale et économique. De nombreux foyers ont dû s'arrêter de travailler ainsi que de nombreuses entreprises. Ce qui a provoqué un profond choc de l'offre et de la demande. D'abord par la baisse de production puis par la diminution des services. Près de la moitié de la population se retrouve confiné ce qui provoque des effets sur la sociabilisation, mais aussi une modification sur notre manière de consommer.
[...] L'État moderne apporte une légitimité humaine, sociale et populaire. En démocratie, l'exercice du pouvoir constituant, par le peuple, n'a pas aboli la distinction entre gouvernants et gouvernés. Les gouvernants agissant au nom de l'État sont soumis à la constitution et aux lois soit un produit du contrat que passent les membres d'une société civile et une institution. Selon les marxistes, d'un point de vue matérialiste, l'État n'apparaît plus comme un instrument de domination d'une classe sur une autre. Il serait réduit à une certaine répression et de domination d'une classe et de domination idéologique. [...]
[...] Doit-il être interventionniste ou encore s'autoréguler ? De nombreux penseurs se sont intéressés à ce sujet au fil du temps, mais le contexte de crise sanitaire réactive les débats. Nous allons nous intéresser de la reprise socio-économique. Puis nous verrons l'évolution de l'État à travers le temps et enfin nous parlons de la politique sociale et économique en mettant ces deux notions en lien avec le contexte sanitaire actuel. I. La reprise socio-économique La reprise est caractérisée comme un point de retournement (de la baisse à la hausse de l'activité) et amorce d'un nouveau cycle. [...]
[...] Selon l'État ne détiendrai que des fonctions de protections et non des fonctions économiques. La priorité n'est alors pas donnée à l'armée, la justice et la police dans un État providence, mais à un devoir tout de même de prise en charge des activités non rentables. Cette conception qu'est l'État providence vient alors des keynésiens. On leur associe alors le progrès social et économique. Leurs objectifs sont alors d'atteindre le plein-emploi, maintenir l'éducation et apporter du soutien aux plus fragiles en apportant à tous une certaine protection sociale. [...]
[...] La Révolution française a inauguré la Nation en la plaçant d'emblée dans le cadre de la République. Dans plusieurs pays européens, la nation émergente ou le sentiment national parvient en quelque sorte à nationaliser des monarques. Cependant l'État-nation serait aujourd'hui en déclin avec la mondialisation et la constitution. III. La politique sociale et économique en lien avec le contexte sanitaire actuel L'État a un rôle, mais il doit s'assurer de maximaliser le bien-être des individus et de leur apporter de la sécurité. [...]
[...] L'État doit-il être interventionniste ou encore s'autoréguler ? Le contexte actuel réactive les débats sur les conditions d'une reprise socio-économique. Il existe des courants de l'économie politique qui préconisent la nécessité d'une intervention de l'État, de l'Union européenne . d'autres non. Vous expliquerez pourquoi il existe une telle divergence à propos de ces interventions selon les principaux courants de l'économie politique. L'ampleur de la crise provoque de nombreuses interrogations économiques au sujet de l'action de l'État pour sa nation. La pandémie du covid-19 a apporté de lourdes conséquences sanitaire, politique, sociale et économique. [...]
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