C'est en 1960 que la Communauté économique européenne (CEE) a décidé de mettre en place une monnaie unique à tous ses membres. Le plan Barre, concrétise cette idée et le plan Werner en 1970 désire instaurer l'union économique et monétaire (UEM). Cette idée va prendre de plus en plus forme au cours des années 80 avec l'adoption de l'acte unique européen. L'UEM va se créer en 3 étapes. Tout d'abord, il faut laisser libre cours à la circulation des biens, des personnes, des services et des capitaux. Ensuite, l'ouverture de la Banque centrale européenne (BCE) en 1998, concrétise l'adoption de la monnaie unique européenne ainsi que le regroupement des politiques économiques et monétaires. Pour finir, la dernière phase, prévoit la fixation des taux de change, ces taux ne pourront être changés. Afin de participer à la monnaie unique, il faut que les pays prennent compte de certains critères. En effet, le rapport entre le déficit public et le PIB doit être inférieur à 3%, celui de la dette publique et du PIB ne doit pas dépasser 60% et le taux d'inflation doit être inférieur à 1,5 point de celui des 3 pays ayant la plus faible inflation. Ces critères vont permettre de garantir des évolutions économiques. C'est au 1er janvier 1999 que l'euro se met en place dans l'Europe pour être réellement mis en circulation le 1er janvier 2002, 16 pays y accèdent. L'euro va permettre de contrer la puissance du Dollar mais également il garantit des taux d'intérêts plutôt faibles, le paiement avec la même monnaie va faciliter les échanges et donc favoriser la croissance, les taux de change sont alors supprimés.
Cependant, la crise économique a affaibli cette monnaie. Il serait intéressant de voir les défauts de cette monnaie face à la crise et également de voir ce que les pays élaborent pour s'en sortir.
[...] Ensuite, la création de nouveaux indicateurs tel que la productivité ou encore le coût du travail va permettre de suivre l'écart de compétitivité entre les pays et de pouvoir y remédier le plus rapidement et de la façon la plus adaptée. Pour finir, Les pays qui ne tiendraient pas compte de leurs déficits se verront sanctionner. Pour conclure, la zone euro était bel et bien en crise mais les dirigeants de chaque pays mettent tout en œuvre afin de s'en sortir. L'euro est une monnaie forte qui va continuer à concurrencer le dollar pendant encore longtemps. Les pays doivent cependant faire attention à leurs comptes mais ils doivent aussi s'aider mutuellement. [...]
[...] Les défauts de l'euro. Tout d'abord, les pays de l'union européenne se retrouvent en pleine crise économique, et pourtant ils se voient obliger de payer des taux d'intérêt de plus en plus élevés car ils ne respectent pas les critères du traité de Maastricht ce qui ne les aident pas. Un total de 31 milliards d'euros doit être payé pour l'ensemble de la zone euro. On peut remarquer que l'Europe doit faire face à un manque de coordination de ses politiques économiques. [...]
[...] L'UEM va se créer en 3 étapes. Tout d'abord, il faut laisser libre cours à la circulation des biens, des personnes, des services et des capitaux. Ensuite, l'ouverture de la Banque centrale européenne (BCE) en 1998, concrétise l'adoption de la monnaie unique européenne ainsi que le regroupement des politiques économiques et monétaires. Pour finir, la dernière phase, prévoit la fixation des taux de change, ces taux ne pourront être changés. Afin de participer à la monnaie unique, il faut que les pays prennent compte de certains critères. [...]
[...] Joseph Stiglitz prévoit alors la fin de la zone euro. Celle-ci manque sérieusement de discipline, de solidarité. Leurs efforts pour s'en sortir. Afin de mettre fin à ce problème, l'Union européenne décide alors de bouleverser ses idées. En effet, les 16 participants à l'euro veulent oublier le principe du chacun pour soi on se retrouvera dans un système organisé autour d'une surveillance mutuelle. La BCE décide de racheter de la dette publique, cela permettra d'aider les Etats mais aussi de soutenir les marchés, contrairement à ce que la population peut penser, cela n'augmentera pas la masse monétaire. [...]
[...] Les critères de Maastricht sont alors beaucoup trop stricts. De plus, un autre défaut de l'union européenne serait de ne pas pouvoir aider un de ses membres qui se retrouve face à des problèmes importants, afin que les pays dits faibles n'y adhèrent pas. Cependant, ce système de surveillance n'est pas mis en place, en effet la Grèce tient ses comptes plus qu'approximativement et cela n'aurait pas du se produire. L'euro n'est pas une monnaie de cotation, ni de transaction ou de règlement. [...]
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