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À l'heure actuelle, l'absence des masques sanitaires de protection pour les soignants, médecin, mais aussi pour le personnel de santé devient indispensable afin de faire fonctionner l'économie du pays en bonne due forme pour faire à l'épidémie, mais aussi en temps de crise quelconque.
Pour répondre à cette problématique, nous allons dans un premier temps à travers des analyses statistiques voir ce qui a conduit à une suppression de lits d'hospitalisation en si grand nombre. Nous poursuivrons notre argumentation dans une seconde partie en regardant quelles sont les raisons qui ont poussé à une suppression des stocks des masques sanitaires.
[...] La forte réduction des stocks de masques sanitaires au fil des années passée Dans cette seconde partie, nous allons voir que le nombre de masques a été réduit en grand nombre. En effet, suppression des stocks découle d'un choix politique fait auparavant tout comme le stock de masques et les sites de productions qui ont été délocalisés. Ce choix s'est fait, suite à l'apparition l'évènement de la grippe A (H1N1) de 2009 qui fut une maladie respiratoire aiguë (plus précisément toux et éternuements visibles) contagieuse provoquée par un virus de la grippe. [...]
[...] La baisse d'efficacité des masques H1N1 Par la suite de ces faits avérer le gouvernement à préférer privilégier et accepter le port du masque anti projection qui serait une meilleure alternative par rapport aux masques FFP2. « Le port du masque anti projection par les travailleurs et par les usagers limite ainsi la dissémination des agents pathogènes, chacun protégeant l'autre (fonction altruiste des masques anti projection). » Ce qui signifie qu'avant, la majorité des gens étaient mécontents du masque le plus défenseur par rapport à la situation, ce qui expliquerait de manière logique qu'ils ne le mettraient pas nécessairement à chaque fois qu'ils en auraient l'utilité et qu'il faille se contenter de mettre à disposition l'usage d'un masque moins protecteur et moins efficace, mais qui pourrait être plus économiques. [...]
[...] Les paramètres de coût sont les suivants : – acquisition : un masque chirurgical coûte environ dix fois moins cher qu'un masque FFP2. » À travers cette allocution, on constate une fois de plus que cela avantage l'état en lui faisant des économies est cela se voit plus précisément par l'expression : « un masque chirurgical coûte environ dix fois moins cher qu'un masque FFP2 » Conclusion Par conséquent, on peut donc voir que la cause principale de la pénurie de masques est due à une décision prise par le gouvernement pensant que le surplus de masques serait « inutile » et « périmé » dans les années à suivre donc ils ont décidé qu'il n'était pas nécessaire de les garder et de continuer à avoir un stock disponible de 145 millions de masques. Pour qu'à l'avenir il n'y ait plus, ou moins, de problème d'efficacité dans les services hospitaliers et les établissements de santé en termes de masques, de lit et autres, il faudrait, dans la mesure du possible restructurer la gestion des stocks de l'état pour les masques et faire une révision complète des moyens employer pour contrer de futurs virus susceptibles de se propager et d'atteindre le point de « pandémie ». [...]
[...] Néanmoins pendant une crise sanitaire, ne connaissant pas son empileur, au début tout le moyen devait être mis en place pour contrer le virus, car personne ne peut prédire quand la situation se terminerait. Mais, il n'a suffi que d'une seule décision, pour que cela engendrer des suites. B. Le début de la réduction des stocks des masques Suite à la campagne glorieuse face au H1N1, les gouvernements et les parlementaires ont décidé à l'avenir de limiter les dépenses et par conséquent les structures de précaution contre d'éventuelles épidémies futures ont donc été négligées. En l'espace de dix ans, la France a réduit considérablement son stock de masques de protection. [...]
[...] Il peut être délivré, conformément à la prescription médicale établi, un seul des produits composant le kit. Cette délivrance est également gratuite, signifiant que l'État préconise de distribuer une boîte de masques à chaque patient resté confiné chez lui dans le but de limiter au maximum la propagation de la maladie. Mais, il en découle par la suite qu'au final le virus H1N1 ne s'est pas avéré si sévère que prévu et n'a pas engendré de pandémie. De plus, la surévaluation de la dangerosité du virus a coûté à l'Etat, d'une part un gaspillage important causer par l'achat massif de vaccins qui en fin de compte n'ont pas été pas utilisés qui a coûté à l'état plusieurs millions d'euros. [...]
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