Partage de la valeur ajoutée - néo-libéralisme - crise actuelle - financement de l'économie - Etats-Unis - Europe - crise des 30 glorieuses
Cette dissertation (plan apparent) explique la structure de l'économie post-keynésienne, l'économie néo-libérale qui a dominé après les trente glorieuses et explique comment celle-ci a causé la plus grande crise économique et financière de tous les temps, la crise de 2007-2010.
[...] Seulement, la crise surgit lorsque le partage reste en faveur des salariés alors même que la productivité s'essoufle: il y a donc moins d'investissement, il s'en suit une baisse de la production, du chômage, et la plus grande crise que l'économie n'avait jamais connue avant 1929. Celle ci était imputable à la crise du taylorisme et du fordisme. Cette productivité qui s'était essouflée à la fin des trente glorieuses va être revue à la fin des années 1970 pour trois raisons. Tout d'abord, on entre dans un nouveau cycle d'innovations, il est dominé par la micro-informatique (les circuits intégrés sont découverts en 1979). [...]
[...] En un an, le taux de défaut passe alors de à il a littéralement doublé. A partir du moment où la bulle immobilière éclate, le cours des titres issus de la titrisation de crédits de type subprime (reposant sur la solvabilité des débiteurs) chute, les banques qui en détenaient font faillite, ces titres ne sont même plu en mesure d'être vendus. C'est alors que les fonds communs de placement font faillite et exposent les établissements de crédits qui les ont créés. [...]
[...] Pendant les trente glorieuses, cette part des plus riches tombe à 32%. Par contre, pendant les 30 néolibérales, elle remonte, et deux ans avant la crise de 2007, cette part est revenue à son niveau d'avant la crise de 1929: presque 45%. Crédits faciles Les crédits se sont développés beaucoup plus aux USA qu'en Europe, surtout parce que le taux d'épargne aux USA est proche de zéro, mais aussi parce que leurs salaires étaient trop faibles pour consommer, donc les taux d'intérêts faibles incitaient à l'endettement pour consommer. [...]
[...] La crise du néo – libéralisme de 2007 – 2010, Comment et pourquoi? A – Fonctionnement de l'économie néo-libérale I – Le compromis salarial II – Le partage de la valeur ajoutée III – Les gains de productivité IV – La politique économique néo-libérale V – Les modalités de financement de l'économie VI – L'ouverture internationale et la mondialisation B – Crise de cette économie I – Les conséquences de cette structure II – Les mécanismes de la crise A – FONCTIONNEMENT DE L'ECONOMIE NEO-LIBERALE I – Le compromis salarial Statut des syndicats: Pendant les trente néo-libérales, les syndicats ont été affaiblis, en terme de statut d'interlocuteurs, de négociateurs (en ce qui concerne le salaire et le marché du travail) et ils ont été désinstitutionnalisés (c'est à dire qu'ils ont été beaucoup moins qu'avant associés à la régulation du marché du travail). [...]
[...] Pendant les trentes néolibérales, la part du financement par les marchés financiers passe la barre des on parle alors d'économie des marchés financiers. Sur le plan des IF, il convient de faire deux remarques. D'abord, La déspécialisation des IF démarre en 1984 en France, et aux progresse jusqu'à l'abrogation du Glass Steagall Act aux Etats-Unis qui marque vraiment la déspécialisation en 1999: les banques de dépôts peuvent alors spéculer comme les banques d'affaires, et les banques d'affaires reçevoir des dépôts. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture