richesse, valeur, économie, mercantilisme, physiocratie, économistes classiques
Le modèle de croissance est remis en question à cause de la crise économique et de l'écologie.
Quelle est la nature de la richesse ?
Les mercantilistes pensaient que la richesse dépendait de la quantité de monnaie et d'or. Les physiocrates pensent que la richesse provient de la terre. Pour d'autres, la nature de la richesse provient des biens nécessaires et utiles.
Les auteurs classiques, marxistes vont penser que la richesse vient du travail.
Comment mesure t'on la richesse ?
Les mercantilistes pensent que la richesse se mesure au stock de monnaie de l'Etat en question. On pense que l'on mesure la richesse a partir des bien consommables et donc à partir de la terre. Les classiques expliqueront que la richesse vient du travail, pas seulement celui de la terre mais surtout le travail industriel. Pour les néo-classiques, la valeur d'un bien dépend de l'utilité de celui-ci, chacun ne lui donnera pas la même valeur.
[...] II) Ricardo 3 classes : les propriétaires fonciers La rente) les capitalistes Le profit) les travailleurs Les salaires) Comment se répartie la richesse entre les 3 acteurs. Pour Ricardo, le profit est un résidu de la répartition du revenu, ce qu'il reste une fois que la terre et les salaires sont payés. La répartition devient un conflit. Son idée est de dire qu'il y a une relation inverse entre salaire et profit. Ricardo part de la distinction entre valeur d'usage et valeur d'échange. Paradoxe de l'eau et du diamant. L'eau est très utile en terme de valeur d'usage mais a une valeur d'échange. [...]
[...] Théorie additive de la valeur : 3 causes à la valeur d'un produit. Il s'agit de la somme des salaires, du profit et de la rente. Prix = Salaire (revenu du travailleur) + Profit (revenu du capitaliste) + Rente (revenu du propriétaire foncier) Comment accroître la richesse ? Les causses de la richesse Smith va en définir deux : la division du travail l'accumulation du capital Il faut donc soutenir le progrès économique par le libéralisme économique. Métaphore de la main invisible : chacun recherchant son progrès, son intérêt personnel va engendrer, sans le savoir, le progrès de la société. [...]
[...] La valeur dépend donc de l'utilité mais aussi de la rareté. Théorie de la valeur travail incorporé : La valeur d'un bien est la quantité de travail nécessaire à la production de la marchandise. Smith : mesure et causes de la valeur (Prix naturel = salaires + profits + rentes) Ricardo : la mesure et la cause de la valeur ne sont pas à distinguer, elles sont à la fois la cause et la valeur. Selon Ricardo, la rente ne fait pas partie du prix des marchandises. [...]
[...] La valeur ne devient plus que le croisement de l'offre et de la demande. Le marché est réduit à une mécanique qui se régule seul. La valeur perd tout contenu social. [...]
[...] favoriser le commerce extérieur (toujours dans le but d'augmenter la richesse) 2 circuit : - le circuit national ne crée pas de - le circuit international me permet de gagner de la monnaie, de la richesse que je vais enlever à l'autre. Convergence d'intérêts les gouvernants, les marchands et la Nation. Ce qui est bon pour les marchands est bon pour l'Etat, est bon pour la Nation. Favoriser un excédent commercial. La politique économique va chercher une balance commerciale excédentaire. La relation entre importation et exportation va être importante. [...]
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