Aujourd'hui les marchés sont un mode privilégié d'allocation des échanges des ressources. Ils sont partout et débordent des frontières. Cependant les Etats sont toujours là, ils vont donc s'adapter, changer de nature, de responsabilité, et prennent tendance à coopérer dans des ensembles beaucoup plus larges (zone de libre échange, union douanière, union monétaire, union politique...). On assiste donc à un mouvement de régionalisation (...)
[...] Les salaires vont par conséquent augmenter plus rapidement quand le chômage est faible, donc la relation inverse entre le taux de chômage et le rythme de variation des salaires. On fait référence à la courbe de Philips : toute variation des salaires qui reste supérieure à la productivité augmente les coûts de production, ce qui ce répercute par une augmentation des prix de vente. Et inversement. Pourquoi lutter contre l'inflation ? L'inflation étant la lutte majeure de la politique économique, et celle-ci produisant la dépréciation de toutes les valeurs monétaires, la baisse du pouvoir d'achat, il est nécessaire du lutter contre. [...]
[...] Puis le milieu des années 1980 a été caractérisé par la libéralisation des marchés de capitaux = globalisation financière. Aujourd'hui, on vit une mutation de la structure des entreprises devenues mondiales. Imperfections de marché = dans le cadre de la concurrence pure et parfait, c'est tout écart au modèle théorique (transparence, libre entrée Economie de marché mixte = c'est le mode d'organisation d'une économie nationale marquée par la coexistence et la complémentarité d'une régulation de marché et d'une intervention active de l'Etat dans la sphère productive, par le biais d'entreprise publique en particulier. [...]
[...] CONCLUSION : Les économies modernes augmentent les richesses et le nombre de citoyens au travail. A la fin des années 1970, les gouvernements croyaient avoir trouvé le plein emploi mais le chômage est apparu et a augmenté. Ca a conduit à la mise en place de politique publique de l'emploi de plus en plus coûteuse sans pour autant de grand résultat. Le fonctionnement du marché du travail est beaucoup mieux analysé ; le chômage reste un problème majeur dans les pays de la zone européenne et au Japon. [...]
[...] Le taux de chômage est dominé par le facteur économique. Le chômage est un réel coût social, un fléau. Pourquoi lutter contre le chômage ? - Efficacité à court terme : s'il y a du chômage, la production n'est pas assez efficace. - Efficacité à long terme : les chômeurs de longue durée se disqualifient, ils deviennent moins efficace = perte de capital humain. - Coût social : l'emploi procure un revenu, et il est facteur de reconnaissance sociale. C. [...]
[...] C'est donc une grandeur économique représentant le pourcentage de la variation annuelle du PIB en volume (prix constants), même si cet indicateur connaît quelques limites. Limites et défauts dans la détermination du PIB : Le PIB est par définition une valeur comptable issue du compte de résultat (produits et coûts) et non du bilan (actif / passif) : Le PIB ne tient pas compte de l'auto consommation, c'est-à-dire les richesses produites et consommées par la même personne. Il ne tient pas compte de l'économie souterraine et du travail au noir dont la contribution à l'économie peut être très importante dans certains pays. [...]
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